L'écriture érotique fut certainement une source de revenus indispensable pendant ces dix années, avant de devenir populaire avec le romanesque humoristique et loufoque puis le romanesque poétique et réaliste ou fantastique social.
En matière d'érotisme le fouet et la fessée inspire particulièrement le jeune auteur, mais malheureusement ce n'est pas notre sujet.
Mais dans cette première oeuvre Femmes du monde et sang bleu, Pierre Mac Orlan éprouve un certain plaisir à décrire le trou du cul de ces dames.
Je me penche, j'arrondis ma lune, mon cul rebondis, j'écarte mes femmes, ... tu le vois, ...là, au milieu
Tu le vois bien .... mon trou ... mon trou mignon .... mon trou de bise
Tu n'as plus tout tes plis, cochonne! Cochonne, des pines sont passées par là.
La figure plaquée contre les fesses et la langue dardée dans le trou impur, soeur Véronique, s'affolait, béguayant des mots salaces, s'excitant dans l'ignoble des mots de passion.
Et la soeur Sainte Fanny, le postérieur étalé, épanoui comme une belle rose blanche, évasait ses fesses contre le nez de sa lécheuse.
Soeur Véronique pris Fanny à bras-le-corps et la jeta le dos sur le lit. Elle ouvris les cuisses fuselés, dévoila la vulve grasse, la motte bombée sous la toison; ses lèvres fouillèrent le satin rose, dénichèrent le clitoris, le sucèrent, la langue battit à coups rapides et soeur Fanny hurla de jouissance... des gémissements de femme en amour.
Dieu que cette minette avait été bonne.
Je ne sais si cette oeuvre est de Mac Orlan lui même
Ci dessous illustration de Léon Courbouleix pour Petites cousines (1919)
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