jeudi 24 avril 2014

Cunnilingus orthographique

Nos amis belges s'amusèrent de dictées osées. A découvrir au cercle d'or cénacle d'apétiste. Et pour illustrer ce propos je vous propose les gravures de Garnon. Le texte ci dessous n'est qu'un extrait.

Pendant qu'elle enceignait de sa lippe pulpeuse son vit tumescent - divine fellation ! -, elle malaxait ses testicules boursouflés entre ses appas ballottants et affriolants. Alors que sa langue experte titillait avec volupté son gland rubescent, elle l'interrogea dans son français quelque peu fruste mais si excitant : « Ton méat coule pas ? » Lui, qui se retenait à grand-pine, pardon ! - lapsus linguae - à grand-peine, lâcha enfin la coulée. Et c'est goulûment qu'elle dégusta sa semence - du vingt ans d'âge assurément - qui giclait en longs jets brûlants.

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Ne voulant pas demeurer en reste, il lui rendit aussitôt la politesse et lui écarta délicatement les fesses. Ancien maître queux, il avait gardé un bon coup de langue et c'est par-devers qu'il entama l'exploration de son mont de Vénus, effleurant d'abord, puis suçotant son clitoris turgescent. Tout émoustillée par son cunnilingus expert, elle geignit de plaisir et, conséquemment, ses grandes lèvres s'humectèrent de cyprine dégoulinante. Il explora également sa rosette en profondeur jusqu'à la limite de ses muscles rectaux ; Verseau, elle adora cette sodomie linguale ex abrupto.

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Après ces amuse-bouches - la mise en branle, si j'ose m'exprimer ainsi -, ils passèrent aux choses sérieuses. Comme il s'était quelque peu imprudemment vanté en termes machos de ses performances orgastiques, elle le soumit à un véritable schibboleth libidinal, enchaînant jusqu'à l'aurore les positions les plus époustouflantes du Kama-sutra. Quelle fabuleuse oaristys ! Quoique en nage, frôlant quelquefois l'épectase - male heure de rêve - , il fut cependant à la hauteur et tint surtout la longueur.

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