– Christiane, dit doucement Bruno, tu exagères… Par exemple, maintenant, j'ai envie de te faire plaisir.
– Je te crois. J'ai l'impression que tu es plutôt un homme gentil. Égoïste et gentil.»
[Je me permet une petite intervention pour souligner que chez Michel Houellebecq, le cunnilingus est toujours associé à la gentillesse du personnage principal.]
[Je me permet une petite intervention pour souligner que chez Michel Houellebecq, le cunnilingus est toujours associé à la gentillesse du personnage principal.]
Elle ôta son sweat-shirt, s'allongea au travers du lit, posa un oreiller
sous ses fesses et écarta les cuisses. Bruno lécha d'abord assez
longuement le pourtour de sa chatte, puis excita le clitoris à petits
coups de langue rapides. Christiane expira profondément. «Enfonce un
doigt…» dit-elle. Bruno obéit, se tourna pour continuer a lécher
Christiane tout en lui caressant les seins. Il sentit les mamelons se
durcir, releva la tête. «Continue, s'il te plait…» demanda-t-elle. Il replaça sa tête plus confortablement et caressa le clitoris de l'index.
Ses petites lèvres commençaient à gonfler. Pris d'un mouvement de joie,
il les lécha avec avidité. Christiane poussa un gémissement. L'espace
d'un instant il revit la vulve, maigre et ridée, de sa mère; puis le
souvenir s’effaça, il continua a masser le clitoris de plus en plus vite
tout en léchant les lèvres à grands coups de langue amicaux. Son ventre
se couvrait d'une rougeur, elle haletait de plus en plus fort. Elle était très humide, agréablement salée. Bruno fit une brève pause,
introduisit un doigt dans l'anus, un autre dans le vagin et commença a lécher le clitoris du bout de la langue, à petits coups très rapides.
Elle jouit paisiblement, avec de longs soubresauts. Il demeura immobile,
le visage contre sa vulve humide, et tendit les mains vers elle; il
sentit les doigts de Christiane se refermer sur les siens. "Merci»
dit-elle. Puis elle se releva, enfila son sweat-shirt et remplit a
nouveau leurs verres.
[Je me permet une nouvelle intervention pour remarquer cette volonté de Michel de ne pas se permettre une scène de sexe non perturbée par des pensées parasite L'espace d'un instant il revit la vulve, maigre et ridée, de sa mère.]
[Je me permet une nouvelle intervention pour remarquer cette volonté de Michel de ne pas se permettre une scène de sexe non perturbée par des pensées parasite L'espace d'un instant il revit la vulve, maigre et ridée, de sa mère.]
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