jeudi 13 mars 2014

Du foutre plein la bouche

Elle se tordait, dans la vaine attente d'un bonheur partagé, fustigeant le type dont elle happait à grands coups, de son conin en délire, la décevante virilité
-Mais tu n'as donc pas de foutre! clamait-elle.

J’étais à l’instant de jouir. Je dégainai brusquement. Je bousculai le fouteur impuissant, et saisissant Colette par les cuisses, avec l'âpreté farouche d'une jalousie mordue au sang, je la poignardai de ma mentule. Ma véhémence la fit hennir de joie et la cabra dans un sursaut de tout son être. -Du foutre! tu veux du foutre, salope? Tiens, en voilà!... 


Et je n'avais pas fait plus de quatre navettes dans son con qui me brûlait comme braise, que j'y lâchai le flot de ma semence. Ma tête entre ses genoux ramenés sur les seins, mes mains à ses épaules, j'ahanais, scandant les secousses de mes reins
-Tiens! tiens! gorge-t'en de mon foutre, que j'en fasse déborder ta fente!...


Quand je l'eus déconnée, je la relevai sur son séant, et plaçai René à genoux entre ses jambes, la bouche à son conin tout écumeux. Et pendant qu'il gamahuchait la chaude fille sous le ruissellement de la liqueur spermatique, je l'enculai, et cette fois jusqu'à complète éjaculation.


Colette, ou les amusements de bon ton par Renée Dunan dit Spady




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