Albert Glatigny (ou Glatiny que l'on trouve aussi sur le net) doit être célébré comme il se doit des siècles après sa mort. Lui qui a vécu sans faire de mal à personne.
Et j'accompagne ce poème des oeuvres d'Egon Schiele dont l'oeuvre est également une invitation à la minette.
Ton con suave, ton con rose,
Sous une forêt de poils blonds,
Doux, frisés, parfumés et long,
A l'air d'une lèvre mi-close,

Lèvre excitant les appétits
De ma lèvre très curieuse,
D'où tant de baisers sont partis ...
Car ma chère, les imbéciles

Auront beau dire ; quand on a,
Sur la fille qu'on enconna,
Fait sonner ses couilles dociles,
A moins d'être bourgeois épais

Dont la nuque indécente arbore
Un de ces fameux toupets
Aux crins roses comme l'Aurore
Il faut quand le champ se va clore,
Déposer le baiser de la paix.
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