Heureux jeune homme! Le voilà qui se met à décharger une seconde
fois en plein dans la bouche du Fléau, toute heureuse du résultat et le
visage pétillant de vice. "Ca a marché? lui demande-t-elle. C'était
bon? Je le crois, hein? Petit cochon, il y en a un foutre! Vous vous
souviendrez de la salope. Je crois que c'est mon tour maintenant. Ca
coule joliment vous savez. Il y a de quoi lécher. Allez! vous allez vous
offrir ça." Elle s'étend à son tour sur le lit, tout le cul à l'air, le
con tout juteux, le foutre lui dégoulinant le long des cuisses.
"Qu'est-ce qui va nettoyer ça? dit-elle. Et vivement. Je ne peux plus
attendre. Qui me bouffe le con?" Je m'étais réservé cela et je me mis à
lui faire une minette complète, qui la fit bientôt décharger, un foutre
épaix comme celui d'un homme. Il fallut alors la laisser un moment à sa
langeur. Au bout de quelques minutes, s'adressant au petit jeune homme :
"Eh! Bien, vous n'avez pas envie d'entrer la dedans. Vous ne bandez
plus! Allez! Arrivez. Je vais vous faire bander moi!" - et elle se mis
en pause, bien calé sur le lit, les jambes large écartées, tout son con
prêt dont elle écartait les lèvres avec les doigts. Il monte sur le lit,
s'étend sur elle, elle lui manie un peu la queue, et quand il est à
point :" Allez! Fous moi ça dans le con, salaud. T'es pas bien? Un riche
con comme ça? Allez, marche. Mets tout. Allez! Oh! le salaud, je vais
encore décharger. Va, va. Oh ! c'est tout de même rudement bon, une
pine. Et pour toi ? C'est pas bon ? Tenez ! Le voilà déjà qui pisse son
foutre. Frotte encore, encore. Là, là… oh ! oh ! ça y est, ça y est,
salaud : tu sens si ça coule. Oh !…Oh !…”»
Journal Particulier 1933 Paul Léautaud
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