dimanche 5 mai 2013

Allez! Dans le con

Heureux jeune homme! Le voilà qui se met à décharger une seconde fois  en plein dans la bouche du Fléau, toute heureuse du résultat et le visage pétillant de vice. "Ca a marché? lui demande-t-elle. C'était bon? Je le crois, hein? Petit cochon, il y en a un foutre! Vous vous souviendrez de la salope. Je crois que c'est mon tour maintenant. Ca coule joliment vous savez. Il y a de quoi lécher. Allez! vous allez vous offrir ça." Elle s'étend à son tour sur le lit, tout le cul à l'air, le con tout juteux, le foutre lui dégoulinant le long des cuisses. "Qu'est-ce qui va nettoyer ça? dit-elle. Et vivement. Je ne peux plus attendre. Qui me bouffe le con?" Je m'étais réservé cela et je me mis à lui faire une minette complète, qui la fit bientôt décharger, un foutre épaix comme celui d'un homme. Il fallut alors la laisser un moment à sa langeur. Au bout de quelques minutes, s'adressant au petit jeune homme : "Eh! Bien, vous n'avez pas envie d'entrer la dedans. Vous ne bandez plus! Allez! Arrivez. Je vais vous faire bander moi!" - et elle se mis en pause, bien calé sur le lit, les jambes large écartées, tout son con prêt dont elle écartait les lèvres avec les doigts. Il monte sur le lit, s'étend sur elle, elle lui manie un peu la queue, et quand il est à point :" Allez! Fous moi ça dans le con, salaud. T'es pas bien? Un riche con comme ça? Allez, marche. Mets tout. Allez!  Oh! le salaud, je vais encore décharger. Va, va. Oh ! c'est tout de même rudement bon, une pine. Et pour toi ? C'est pas bon ? Tenez ! Le voilà déjà qui pisse son foutre. Frotte encore, encore. Là, là… oh ! oh ! ça y est, ça y est, salaud : tu sens si ça coule. Oh !…Oh !…”»

Journal Particulier 1933 Paul Léautaud

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