Suzon en vacances. 1935
Par Léon Courbouleix
Il se glissa derrière moi, releva
ma jambe, et d’un coup brutal, il m’a proprement enculée.
Je souffrais horriblement !
J’ai poussé un cri si aigu, qu’il s’est arrêté.
Alors, avec une gentillesse, dont
je ne l’aurais jamais cru capable, il s’est agenouillé et m’a léchée
délicatement.
J’ai trouvé ça très bien de sa
part, très bon aussi.
J'exigeais que Jean encule Yvonne.
Gourmande, j'y applique les lèvres, et tandis que je la suçe, Jean s'approche par derrière.
Le mariage de Suzon. 1936
Oh! Le joli con disait-il, il est doux à embrasser ... à lécher
Nous deux. Pour toi pour moi. Quelques vers. 1935.
Alors, très doucement, il écarte les cuisses
De l'idolze aux abois et tette son bouton,
Enfin, les amoureux lassés, un doigt au cul,
S’endorment bienheureux, tête à cul, fesse à tête …
Dans sa menotte fine, elle prend le polard,
(Il a sorti son polard ... Il s'est foutu à la renifler ... Et c'était pas du simili Louis-Ferdinand Céline Mort à crédit)
Le polard est le nom que donne le fêtard à l'étudiant besognieux.
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