lundi 28 septembre 2015

Cunt Paintings

Après avoir écrit un billet sur le blâme de Gustave Flaubert pour excès de réalisme je bascule du XIXème au XXième siècle avec  Betty Tompkins.






3 commentaires:

  1. On dirait des photos. Un parti pris de réalisme…

    Promesse non tenue : la jeune beauté idéalisé, le rouge à lèvres du deuxième tableau et l'absence de tout poil (cachez cette nature que l'on me saurait voir) sont des petits bémols. Courbet est encore loin devant.

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  2. Réponses
    1. L'idéalisation de la beauté et l'absence de poils seraient plutôt, me semble-t-il, un manque de réalisme.

      C'est beau et sensuel, bien sûr, mais il me semble que ce serait plus émouvant en étant plus concret.

      Je trouve l'Olympia de Courbet plus réussie que les tableaux sensuels d'Ingres.

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