La folle histoire mondiale du cunnilingus
On dirait des photos. Un parti pris de réalisme…Promesse non tenue : la jeune beauté idéalisé, le rouge à lèvres du deuxième tableau et l'absence de tout poil (cachez cette nature que l'on me saurait voir) sont des petits bémols. Courbet est encore loin devant.
Excès de réalisme?
L'idéalisation de la beauté et l'absence de poils seraient plutôt, me semble-t-il, un manque de réalisme.C'est beau et sensuel, bien sûr, mais il me semble que ce serait plus émouvant en étant plus concret.Je trouve l'Olympia de Courbet plus réussie que les tableaux sensuels d'Ingres.
On dirait des photos. Un parti pris de réalisme…
RépondreSupprimerPromesse non tenue : la jeune beauté idéalisé, le rouge à lèvres du deuxième tableau et l'absence de tout poil (cachez cette nature que l'on me saurait voir) sont des petits bémols. Courbet est encore loin devant.
Excès de réalisme?
RépondreSupprimerL'idéalisation de la beauté et l'absence de poils seraient plutôt, me semble-t-il, un manque de réalisme.
SupprimerC'est beau et sensuel, bien sûr, mais il me semble que ce serait plus émouvant en étant plus concret.
Je trouve l'Olympia de Courbet plus réussie que les tableaux sensuels d'Ingres.