Toi sous moi, dans une chambre volée, ta tête entre mes cuisses. Et ta langue glissant en moi, lapant ma vulve, accélérant ton rythme avec l'expérience de tes années passées, mais peut-être était-ce déjà un adieu, tant pis, il était bon, tu me léchais et je fondais longuement dans ta bouche, la honte d’imaginer ton visage devant mon sexe disparaissait, la fougue que tu mettais à m’embrasser avait fait tomber d’un coup mes réticences, j’écartais davantage encore mes jambes pour que tu puisses en moi t’enfoncer plus avant, me dévorer l’intérieur des cuisses, les embrasser, promener ta langue à la jointure de mes fesses, la faire glisser vers les fesses, et m’embrasser aussi profondément que si mon sexe avait été ma bouche pour te répondre...
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Paru en mars 2006, « Un homme dans la poche » roman d’Aurélie Filippetti.
Est-ce que vous imaginez l'héroïne plus :
Ou bien :
Le déjeuner sur l'herbe (je l'appelle ainsi) de Olivia Berardinis
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