Grâce à lui on fait le rapprochement entre le cunnilingus de la nouvelle et la scène de fellation entre Aristide Saccard et la baronne Sandorff dans le roman l'argent publié en 1891.
Le passage le plus représentatif en est sans doute dans
L’Argent où, au sein d’un même décor, le cunnilingus du manuscrit
devient une fellation interrompue. Il n’y a qu’à comparer les deux
extraits pour être frappé de la ressemblance des positions, des regards,
du vocabulaire.
Quand il s’agit de « faire mimi », Adèle
«
n’a plus que sa chemise et se renverse en riant au bord du lit. Alors la
femme pâmée au bord du lit, la chemise roulée et retroussée jusqu’aux
seins, les jambes traînant à terre sur le tapis, la tête renversée et
cachée sous ses bras repliés. On voit des bouts de pieds
jusqu’au-dessous des seins, le ventre, les hanches, les cuisses, etc. Le
con, à demi ouvert, entrevu pour la première fois».
Quand il s’agit de s’adonner à la pratique inverse,
Illustration Benoit Feroumont
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