lundi 22 septembre 2008

Au milieu coule une rivière

L'eau n'était pas profonde, guère plus que quelques centimètres.
Nous nous étions évadés dans le massif de l'Esterel, seul endroit non bati de ce coin de la côte varoise.
Le soleil au zénith, elle s'était allongé dans le ruisseau et la fraicheur de l'eau associé à la caresse du soleil, l'avais envahie.
A son coté, je regardais ses mamelons, qui l'instant d'avant étaient reclus par le froid, sortir doucement de ses deux jolis seins. Ce phénomène lui procura un délicieux plaisir et elle laissa échapper un soupir.
Ne pouvant rester observateur, je me glissais dans l'eau et elle m'aida à enlever le bas de son maillot. Je remplis ma bouche de l'eau fraiche et de la douceur de son intimité. Elle accompagnait ma langue d'un mouvement appuyé et régulier de ses reins.


Nous nous étions mis à trois pour lui procurer cette jouissance : l'eau, le soleil et moi.

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