L'eau n'était pas profonde, guère plus que quelques centimètres.
Nous nous étions évadés dans le massif de l'Esterel, seul endroit non bati de ce coin de la côte varoise.
Le
soleil au zénith, elle s'était allongé dans le ruisseau et la fraicheur
de l'eau associé à la caresse du soleil, l'avais envahie.
A son
coté, je regardais ses mamelons, qui l'instant d'avant étaient reclus par le froid,
sortir doucement de ses deux jolis seins. Ce phénomène lui procura un
délicieux plaisir et elle laissa échapper un soupir.
Ne pouvant
rester observateur, je me glissais dans l'eau et elle m'aida à enlever
le bas de son maillot. Je remplis ma bouche de l'eau fraiche et de la
douceur de son intimité. Elle accompagnait ma langue d'un mouvement
appuyé et régulier de ses reins.
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