La biche tend le cou, langue douce et sucrée.
Embuée de sa pensée, je laisse mes lèvres s'ouvrir,
Ma langue pointe et le cherche, serpent habile.
Ces 2 distiques vous les retrouvez chez paginocturna (il y a du nue) et hiver 2003 (il y en a aussi) , ils sont attribuées à une poétesse du 8ème siècle
Hayâm Lamîs Mahjabîn pour laquelle je n'ai trouvé aucune autre source.
Une photo douce et sucrée en illustration malheureusement sans référence d'auteur.

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