Je me rappelle du goût de sa chatte. Un goût surette je trouve.
Pas tout à fait bon, mais à la longue, j'y prenais aussi goût. Ce
n'était pas tant sa saveur, que la sensation de ma langue entre ses
jambes, sur ses lèvres, entre ses lèvres qui me faisait tripper. Et je
l'entendais gémir, je me disais qu'elle devait aimer ça. J'entrais un
doigt ou deux dans sa chatte. Encore un geste insolite pour moi. De
ressentir mon doigt dans la chatte qui n'est pas la mienne. De me rendre
compte de comment s'est fait à l'intérieur...
Retrouvez la suite des aventures d'Alexandra jeune Montréalaise de 30 ans.
Œuvre magistrale d'Arthur Berzinsh
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