Sandokan is a fictional pirate of the late 19th century, who first appeared in publication in 1883, created by Italian author Emilio Salgari c'est aussi un dessinateur de minette trés érotique.
L'univers fantasmallégorique de Sandokan
mercredi 20 février 2013
lundi 18 février 2013
Billet d'humeur
En redécouvrant cette photo de Ruslan Lobanov j'ai pensé
Je hume, Je respire et je voulais connaitre tous les mots désignant le sens de l'odorat et il y a eu Baudelaire, la chevelure
Ô toison, moutonnant jusque sur l'encolure!
Ô boucles! Ô parfum chargé de nonchaloir!
Extase! Pour peupler ce soir l'alcôve obscure
Des souvenirs dormant dans cette chevelure,
Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir!
La langoureuse Asie et la brûlante Afrique,
Tout un monde lointain, absent, presque défunt,
Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique!
Comme d'autres esprits voguent sur la musique,
Le mien, ô mon amour! nage sur ton parfum.
J'irai là-bas où l'arbre et l'homme, pleins de sève,
Se pâment longuement sous l'ardeur des climats;
Fortes tresses, soyez la houle qui m'enlève!
Tu contiens, mer d'ébène, un éblouissant rêve
De voiles, de rameurs, de flammes et de mâts:
Un port retentissant où mon âme peut boire
À grands flots le parfum, le son et la couleur
Où les vaisseaux, glissant dans l'or et dans la moire
Ouvrent leurs vastes bras pour embrasser la gloire
D'un ciel pur où frémit l'éternelle chaleur.
Je plongerai ma tête amoureuse d'ivresse
Dans ce noir océan où l'autre est enfermé;
Et mon esprit subtil que le roulis caresse
Saura vous retrouver, ô féconde paresse,
Infinis bercements du loisir embaumé!
Cheveux bleus, pavillon de ténèbres tendues
Vous me rendez l'azur du ciel immense et rond;
Sur les bords duvetés de vos mèches tordues
Je m'enivre ardemment des senteurs confondues
De l'huile de coco, du musc et du goudron.
Longtemps! toujours! ma main dans ta crinière lourde
Sèmera le rubis, la perle et le saphir,
Afin qu'à mon désir tu ne sois jamais sourde!
N'es-tu pas l'oasis où je rêve, et la gourde
Où je hume à longs traits le vin du souvenir?
— Charles Baudelaire
Je hume, Je respire et je voulais connaitre tous les mots désignant le sens de l'odorat et il y a eu Baudelaire, la chevelure
Ô toison, moutonnant jusque sur l'encolure!
Ô boucles! Ô parfum chargé de nonchaloir!
Extase! Pour peupler ce soir l'alcôve obscure
Des souvenirs dormant dans cette chevelure,
Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir!
La langoureuse Asie et la brûlante Afrique,
Tout un monde lointain, absent, presque défunt,
Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique!
Comme d'autres esprits voguent sur la musique,
Le mien, ô mon amour! nage sur ton parfum.
J'irai là-bas où l'arbre et l'homme, pleins de sève,
Se pâment longuement sous l'ardeur des climats;
Fortes tresses, soyez la houle qui m'enlève!
Tu contiens, mer d'ébène, un éblouissant rêve
De voiles, de rameurs, de flammes et de mâts:
Un port retentissant où mon âme peut boire
À grands flots le parfum, le son et la couleur
Où les vaisseaux, glissant dans l'or et dans la moire
Ouvrent leurs vastes bras pour embrasser la gloire
D'un ciel pur où frémit l'éternelle chaleur.
Je plongerai ma tête amoureuse d'ivresse
Dans ce noir océan où l'autre est enfermé;
Et mon esprit subtil que le roulis caresse
Saura vous retrouver, ô féconde paresse,
Infinis bercements du loisir embaumé!
Cheveux bleus, pavillon de ténèbres tendues
Vous me rendez l'azur du ciel immense et rond;
Sur les bords duvetés de vos mèches tordues
Je m'enivre ardemment des senteurs confondues
De l'huile de coco, du musc et du goudron.
Longtemps! toujours! ma main dans ta crinière lourde
Sèmera le rubis, la perle et le saphir,
Afin qu'à mon désir tu ne sois jamais sourde!
N'es-tu pas l'oasis où je rêve, et la gourde
Où je hume à longs traits le vin du souvenir?
— Charles Baudelaire
dimanche 17 février 2013
Culilliputien
Un nouveau mot pour ce calin de liliputien.
Hallucination lilliputienne, en médecine, un trouble de la perception par lequel le sujet croit apercevoir de petits objets ou animaux.
Je vois des clitoris partout c'est mon Hallucination lilliputienne. Pourvu que ce ne soit pas mon reflet dans la glace.
Hallucination lilliputienne, en médecine, un trouble de la perception par lequel le sujet croit apercevoir de petits objets ou animaux.
Je vois des clitoris partout c'est mon Hallucination lilliputienne. Pourvu que ce ne soit pas mon reflet dans la glace.
dimanche 10 février 2013
Blessure mystérieuse
Un visiteur en provenance de Cahier caché me fait découvrir le blog de delincertitude et ses dessins érotiques et le choix de ses textes.
Je me permets de faire référence à son blog en lui empruntant ce dessin
Elle n'était plus que la blessure mystérieuse qui s'ouvre comme une bouche, saigne comme un cœur, et vibre comme une lyre.
Je découvre Henri Barbusse et son oeuvre l'enfer.
Je me permets de faire référence à son blog en lui empruntant ce dessin
Elle n'était plus que la blessure mystérieuse qui s'ouvre comme une bouche, saigne comme un cœur, et vibre comme une lyre.
Je découvre Henri Barbusse et son oeuvre l'enfer.
samedi 9 février 2013
L'origine du monde (Rediffusion)
Le visage de LOM ne va pas changer notre vision du tableau de Gustave Courbet. Joanna Hifferrnan la belle irlandaise le modèle préféré de Gustave a la physionomie « élastique »
Critique de l'origine du monde par Bertrand Naivin sur art11
Un sexe opaque. Voici comment nous pourrions qualifier cet étrange tableau peint par Gustave Courbet en 1866. Après des siècles pendant lesquels cet objet de désirs fut lissé, qu'à cet orifice la peinture préféra l'innocence de la planéité, gommant ainsi le péché originel, ce petit tableau du peintre de Barbizon écorche notre regard par cette masse sombre qu'il peut être encore dur aujourd'hui de contempler sans rougir.
Fidèle à son désir de réalité, l'artiste nous met ici face à notre matérialité la plus crue, rappelant avec ces poils indomptables qu'avant d'être homme, nous sommes bêtes. Le sexe n'est alors plus re-présenté, mais bien présenté dans toute sa force primitive. Cette matrice si justement nommée l'origine du monde nous confronte ainsi aux sources de notre humanité: un corps fait de poils, de chair, de souffrance et de plaisir. Un corps sauvage. Un corps qui ,après s'être si longtemps tu, vit, jouit, excite. La nudité selon Courbet n'a dès lors plus la légèreté diaphane de l'allégorie ou du mythe, mais au contraire la lourdeur de la terre, de la chair, du corps du monde. Aussi cette oeuvre marque-t-elle un tournant dans l'histoire du nu artistique.
LOM de Courbet
Des premières représentations primitives aux seins et phallus hyperboliques, en devenant œuvre d'art, celui-ci fut toujours recouvert du voile du symbole. Image de la fertilité, allégorie de toutes les vertus, représentation du Beau idéal antique, la nudité n'a jamais cessé d'être vêtue de concepts. Aussi, lorsque le peintre français vend ce tableau à Khalil-Bey, un diplomate turc, nous comprenons qu'il ne pourra être vu que sous un drap. Comment en effet ne pas être choqué par la vue de ce sexe si présent, et surtout si animal. Car c'est également ce qui est ici en jeu. Courbet tourne donc le dos avec ce corps sans visage, avec ce sexe vrai, à toute une pensée occidentale qui depuis l'Antiquité grecque jusqu'aux Lumières voyait en l'humanité l'histoire d'une séparation totale avec nos origines animales. L'homme serait un être insulaire, unique, voué à la perfection. L'artiste réaliste, quant à lui, nous enjoint à assumer notre primalité en acceptant ces poils qu'Ingres se serait empressé de bannir. Le corps s'offre alors dans toute sa brutalité au regardeur impressionné par tant de matérialité. Tout comme avec la photographie, la réalité commence à frapper à la porte de l'art. Coïncidence?...
Gustave Courbet Le sommeil
Un sexe opaque. Voici comment nous pourrions qualifier cet étrange tableau peint par Gustave Courbet en 1866. Après des siècles pendant lesquels cet objet de désirs fut lissé, qu'à cet orifice la peinture préféra l'innocence de la planéité, gommant ainsi le péché originel, ce petit tableau du peintre de Barbizon écorche notre regard par cette masse sombre qu'il peut être encore dur aujourd'hui de contempler sans rougir.
Fidèle à son désir de réalité, l'artiste nous met ici face à notre matérialité la plus crue, rappelant avec ces poils indomptables qu'avant d'être homme, nous sommes bêtes. Le sexe n'est alors plus re-présenté, mais bien présenté dans toute sa force primitive. Cette matrice si justement nommée l'origine du monde nous confronte ainsi aux sources de notre humanité: un corps fait de poils, de chair, de souffrance et de plaisir. Un corps sauvage. Un corps qui ,après s'être si longtemps tu, vit, jouit, excite. La nudité selon Courbet n'a dès lors plus la légèreté diaphane de l'allégorie ou du mythe, mais au contraire la lourdeur de la terre, de la chair, du corps du monde. Aussi cette oeuvre marque-t-elle un tournant dans l'histoire du nu artistique.
LOM de Courbet
Des premières représentations primitives aux seins et phallus hyperboliques, en devenant œuvre d'art, celui-ci fut toujours recouvert du voile du symbole. Image de la fertilité, allégorie de toutes les vertus, représentation du Beau idéal antique, la nudité n'a jamais cessé d'être vêtue de concepts. Aussi, lorsque le peintre français vend ce tableau à Khalil-Bey, un diplomate turc, nous comprenons qu'il ne pourra être vu que sous un drap. Comment en effet ne pas être choqué par la vue de ce sexe si présent, et surtout si animal. Car c'est également ce qui est ici en jeu. Courbet tourne donc le dos avec ce corps sans visage, avec ce sexe vrai, à toute une pensée occidentale qui depuis l'Antiquité grecque jusqu'aux Lumières voyait en l'humanité l'histoire d'une séparation totale avec nos origines animales. L'homme serait un être insulaire, unique, voué à la perfection. L'artiste réaliste, quant à lui, nous enjoint à assumer notre primalité en acceptant ces poils qu'Ingres se serait empressé de bannir. Le corps s'offre alors dans toute sa brutalité au regardeur impressionné par tant de matérialité. Tout comme avec la photographie, la réalité commence à frapper à la porte de l'art. Coïncidence?...
mercredi 6 février 2013
Praxis cunnilinguistique
En 1967, Carolee Schneemann réalise Fuses. Film de 18 minutes, en 16 mm.
Il s'agit d'un montage de scènes tournées chez eux par Schneemann et son compagnon James Tenney sur une période de deux ans, où on les voit faire l'amour. Seul le chat Kitch assiste aux ébats.
C'est un collage : les scènes érotiques, que l'on ne fait parfois que deviner, se succèdent, fondues dans des couleurs orangé, vert ou bleu ; elles sont tantôt éclairées, tantôt à contre-jour, et on perçoit les changements de saison. Carolee Schneemann est intervenue sur le film qui est coloré, raturé, parsemé de tâches,couvert parfois de formes végétales. On voit tantôt le couple à une distance relative, tantôt la caméra se rapproche et filme en gros plan les parties génitales, la vulve de Carolee Schneemann, le pénis en érection ou au repos de James Teney. Les deux corps sont parfois montrés seuls et selon un mode équivalent, nus et allongés, dans un mouvement de caméra qui s'attarde sur les différentes parties du corps.
Des actes érotiques tabous ou interdits légalement dans les années soixante au Etats-Unis sont explicitement montrés : fellation et cunnilingus.
Film érotique et sensuel entre un homme et une femme Carolee Schneemann ne touche pas au male gaze (regard masculin)et là est probablement le noeud du problème : elle tente de construire, en parallèle de ce regard masculin, un regard féminin. Elle est accusée de naïveté théorique. Voir critique Emilie Bouvard
A Cannes, en 1969, le film est projeté dans une programmation alternative, « Films radicaux de 1969 » : les spectateurs, masculins pour la plupart, se mettent, de rage ou de frustration face à ce film érotique mais non pornographique, à taillader les sièges.
Ce bref exposé rend clair le hiatus entre Schneemann et le féminisme : le problème se porte d'abord sur l'absence de séparation entre les sexes, puis sur la représentation d'un corps féminin en contexte érotique (dans Fuses et Meat Joy par exemple), objets d'un désir masculin, et enfin sur l'usage du nu féminin et la focalisation sur le vagin en général. Carolee Schneemann résume cette histoire avec humour dans la performance Vulva's School (1995)
Vulva goes to school and discovers she doesn't exist.
Vulva deciphers Lacanand Baudrillard and discovers she is only a sign, a signification of the void, of absence, of what is not male
Vulva decodes feminist constructivist semioticsand realizes she has no authentic feelings at all; even her erotic sensations are constructed by patriarchal projections, impositions and conditioning
Vulva interprets essentialist feminist texts and paints her face with her menstrual blood,howling when the moon is full
Vulva learns to analyze politics by asking "Is this good for Vulva ?"
Il s'agit d'un montage de scènes tournées chez eux par Schneemann et son compagnon James Tenney sur une période de deux ans, où on les voit faire l'amour. Seul le chat Kitch assiste aux ébats.
C'est un collage : les scènes érotiques, que l'on ne fait parfois que deviner, se succèdent, fondues dans des couleurs orangé, vert ou bleu ; elles sont tantôt éclairées, tantôt à contre-jour, et on perçoit les changements de saison. Carolee Schneemann est intervenue sur le film qui est coloré, raturé, parsemé de tâches,couvert parfois de formes végétales. On voit tantôt le couple à une distance relative, tantôt la caméra se rapproche et filme en gros plan les parties génitales, la vulve de Carolee Schneemann, le pénis en érection ou au repos de James Teney. Les deux corps sont parfois montrés seuls et selon un mode équivalent, nus et allongés, dans un mouvement de caméra qui s'attarde sur les différentes parties du corps.
Des actes érotiques tabous ou interdits légalement dans les années soixante au Etats-Unis sont explicitement montrés : fellation et cunnilingus.
Film érotique et sensuel entre un homme et une femme Carolee Schneemann ne touche pas au male gaze (regard masculin)et là est probablement le noeud du problème : elle tente de construire, en parallèle de ce regard masculin, un regard féminin. Elle est accusée de naïveté théorique. Voir critique Emilie Bouvard
A Cannes, en 1969, le film est projeté dans une programmation alternative, « Films radicaux de 1969 » : les spectateurs, masculins pour la plupart, se mettent, de rage ou de frustration face à ce film érotique mais non pornographique, à taillader les sièges.
Ce bref exposé rend clair le hiatus entre Schneemann et le féminisme : le problème se porte d'abord sur l'absence de séparation entre les sexes, puis sur la représentation d'un corps féminin en contexte érotique (dans Fuses et Meat Joy par exemple), objets d'un désir masculin, et enfin sur l'usage du nu féminin et la focalisation sur le vagin en général. Carolee Schneemann résume cette histoire avec humour dans la performance Vulva's School (1995)
Vulva goes to school and discovers she doesn't exist.
Vulva deciphers Lacanand Baudrillard and discovers she is only a sign, a signification of the void, of absence, of what is not male
Vulva decodes feminist constructivist semioticsand realizes she has no authentic feelings at all; even her erotic sensations are constructed by patriarchal projections, impositions and conditioning
Vulva interprets essentialist feminist texts and paints her face with her menstrual blood,howling when the moon is full
Vulva learns to analyze politics by asking "Is this good for Vulva ?"
dimanche 3 février 2013
Sodomy law et criminalisation du cunnilingus
C'est pas drole mais limite risible : dans un certain nombre d'états
américains les sodomy law criminalisent Sodomie, fellation et
cunnilingus. Mais ce n'est pas tout il y a également les fornication
laws : plus d’une vingtaine d’Etats américains conservent des lois
criminalisant l’adultère (cf l'affaire général Petraeus et dix Etats comme la Virginie interdisent les rapports sexuels avant le mariage.
Le débat oppose moralité publique d'un coté et droit à la vie privée (right to privacy) et principe d’égalité de l'autre (Protection du XIV amendement de la Constitution américaine (equal protection clause))
Revenons à la criminalisation du cunnilingus :
C'est pas drole mais limite risible : dans un certain nombre d'états américains les sodomy law criminalisent Sodomie, fellation et cunnilingus. Mais ce n'est pas tout il y a également les fornication laws : plus d’une vingtaine d’Etats américains conservent des lois criminalisant l’adultère (cf l'affaire général Petraeus et dix Etats comme la Virginie interdisent les rapports sexuels avant le mariage.
Le débat oppose moralité publique d'un coté et droit à la vie privée (right to privacy) et principe d’égalité de l'autre (Protection du XIV amendement de la Constitution américaine (equal protection clause))
Revenons à la criminalisation du cunnilingus :
In 1989, in State v. Moppin,68 the Kansas Supreme Court decided by a vote of 6-1 that cunnilingus did not constitute a violation of the state’s sodomy law. "We conclude that cunnilingus is not an act of "sodomy" as that term is defined by statute[.]"69 No analysis was given. The practical application of this decision is that, even though the Kansas sodomy law applied on its face to people of the same sex, only Gay men could be prosecuted under it.
The Kansas legislature reacted swiftly to this decision. In 1990, it enacted a statute70 to amend the sodomy law to include "oral-genital stimulation between the tongue of a male and the genital area of a female[.]"71 This law bluntly excluded relations between two women from its scope, but also reinstated criminal penalties for a single form of consensual sodomy between persons of the opposite sex.
Showing again what a sloppy legislature Kansas has, in 1991, the sodomy law was amended again77 to "correct" the errors of the 1990 law in criminalizing heterosexual cunnilingus and keeping legal Lesbian cunnilingus. The new statute revised the definition of the oral portion of the sodomy proscription to "oral contact or oral penetration of the female genitalia or oral contact of the male genitalia[.]"78
Sodomy law
Summary Period: Kansas has shown no inclination to repeal its sodomy law. The Kansas Supreme Court interpreted the law as not outlawing cunnilingus. The legislature quickly responded with a statute that, probably unwittingly, made only heterosexual cunnilingus illegal. It then moved to "correct" that problem by eliminating the gender references.
Le débat oppose moralité publique d'un coté et droit à la vie privée (right to privacy) et principe d’égalité de l'autre (Protection du XIV amendement de la Constitution américaine (equal protection clause))
Revenons à la criminalisation du cunnilingus :
C'est pas drole mais limite risible : dans un certain nombre d'états américains les sodomy law criminalisent Sodomie, fellation et cunnilingus. Mais ce n'est pas tout il y a également les fornication laws : plus d’une vingtaine d’Etats américains conservent des lois criminalisant l’adultère (cf l'affaire général Petraeus et dix Etats comme la Virginie interdisent les rapports sexuels avant le mariage.
Le débat oppose moralité publique d'un coté et droit à la vie privée (right to privacy) et principe d’égalité de l'autre (Protection du XIV amendement de la Constitution américaine (equal protection clause))
Revenons à la criminalisation du cunnilingus :
In 1989, in State v. Moppin,68 the Kansas Supreme Court decided by a vote of 6-1 that cunnilingus did not constitute a violation of the state’s sodomy law. "We conclude that cunnilingus is not an act of "sodomy" as that term is defined by statute[.]"69 No analysis was given. The practical application of this decision is that, even though the Kansas sodomy law applied on its face to people of the same sex, only Gay men could be prosecuted under it.
The Kansas legislature reacted swiftly to this decision. In 1990, it enacted a statute70 to amend the sodomy law to include "oral-genital stimulation between the tongue of a male and the genital area of a female[.]"71 This law bluntly excluded relations between two women from its scope, but also reinstated criminal penalties for a single form of consensual sodomy between persons of the opposite sex.
Showing again what a sloppy legislature Kansas has, in 1991, the sodomy law was amended again77 to "correct" the errors of the 1990 law in criminalizing heterosexual cunnilingus and keeping legal Lesbian cunnilingus. The new statute revised the definition of the oral portion of the sodomy proscription to "oral contact or oral penetration of the female genitalia or oral contact of the male genitalia[.]"78
Sodomy law
Summary Period: Kansas has shown no inclination to repeal its sodomy law. The Kansas Supreme Court interpreted the law as not outlawing cunnilingus. The legislature quickly responded with a statute that, probably unwittingly, made only heterosexual cunnilingus illegal. It then moved to "correct" that problem by eliminating the gender references.
vendredi 1 février 2013
Entremet
Reynald Drouhin Abril accaoui Agnès Pierron Alain Fisette Albert Mérat Alibat Alina Reyes Almodovar Amalric Amandine Doré Anaïs Nim André de Nerciat André Langaney Andy Shmushkin Anne Archet Anne Van Der Linden appolinaire Aragon Aristote Aronofsky Arrabal Arthur Berzinh Arthur Fischer arthur H Aurélie Filippetti Avril balasko Ballivet Bansky Bartabas Bashung Bataille batory Bazbaz BD Beaudelaire beineix belami Belleau Berzinsh Bouchet Bouguereau Brad Wallis Brassens Bukowski cadoo Calixthe Beyala Candide Cantel cantique Carlos Carpenter Ceytaire Chanson Chapman Char Chloé des lysses Christina Aguilera Cinéma Clovis Hugues Colette Renard Coluche Cortney Andrews courbet cultures Cécile Daumas Dalle Danse David Duchovny david Lafore de Beaulieu Derek Cianfrance Desnos Domergue donna summer Edmond Haraucourt Ellis Entremets Ernest Pignon Ernest ErotiqueWeb Ferrat Finney François Boucher François d'Alayrac Freud Félicien Rops Gainsbourg Gherasim Luca Gilles LANGOUREAU gravure Guillon Guy de Maupassant Hayâm Lamîs Mahjabîn Hegel histoire hitler Hokusai Holzinger Houellebecq humour Ingres Itami Jacques BRINDEJONT-OFFENBACH jacques Nam Jane campion Jane Hunt JEAN-LEON GEROME Jean-Louis Aubert Jeanne Moreau JM Castro Pietro Johannès Gros John Currin Joséphine de Beauharnais Jules Pascin Kate Moss Kevin Smith Kierkegaard Koons Lachapelle Larry Clark Laurenzi Legman Leonard Cohen leroux Lexique Lichtenstein Lio Littérature Lobel Riche Loïc Decrauze Lucie Delarue Lucio Dornano Manara Manet Mapplethorpe Marcel Vertes Marcus Piggott Marie de Hérédia Mark Ruffalo Marlène Dumas Martin Van Maele Masson Matisse Meg Ryan Meredith-Goujon Mert Alas mia engberg Michael von Zichy Michal Tokarczuk Michel-Ange Mila Kunis Millie Jackson Miss Tic Musset MV Martial Nabokov Namio Harukawa Napoléon Natalie Portman Nikola Tamindzic Norinumi Suzuki Odile Buisson odyl Olivia Berardinis Orson Welles Ouraken Ovide Ovidie Pascal Paul Eluard Paul Emile DEBRAUX Paul Valéry peinture Petites histoires Philippe Brenot Philippe De Jonckheere Photo Picasso Pierre Louÿs Pinocchio Planète cunnilingus Politique posada positions Poésie Proust Psy Rabelais Radiguet Reiser Religions Rene Almanza René Char Renée Vivien Riebeek Rimbaud Rolling Stones Ronsard Rémès Sade Samantha Wolov saudek Scarlett Schatz Science Sergio Escobar Shakespeare Shu Qi Susanna Moore Swang Tarantino Tarun Tejpal Teraoka Thiéfaine Thomas Fersen théatre Théophile Gauthier Tom Wolfe Toshio Saeki Trevor Watson Télé Ungerer Van Maele Venus Verlaine Vidéo Vlad Gansovsky Voltaire Wegener Young-Hae Chang Zoran Naskovski Évaryste Parny
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