De love on the beat (1984) on retient souvent la musique : C'est
le même refrain et le même couplet pendant huit minutes, rendez-vous
compte! Pas au niveau des paroles, mais musicalement. De plus, la
perversité des paroles et les cris de Bambou n'arrangent rien à la
chose.
Pour ceux qui sont allergiques à la musique et ses beats, goutez ces vers verlainiens
D'abord je veux avec ma langue
natale deviner tes pensées
mais toi déjà déjà tu tangues
au flux et reflux des marées
je pense à toi en tant que cible
ma belle enfant écartelée
là j'ai touché le point sensible
attends je vais m'y attarder
Il est temps de passer aux choses
sérieuses ma poupée jolie
tu as envie d'une overdose
de baise voilà je m'introduis
j'aime assez tes miaous miaous
griffes dehors moi dents dedans
ta nuque voir de ton joli cou
comme un rubis perler le sang
plus tu cris plus profond j'irai
dans tes sables émouvants
ou m'enlisant je te dirai
les mots les plus abominables
brûlant sont tous tes orifices
des trois que les dieux t'ont données
je décide dans le moins lisse
d'achever de m'abandonner
une décharge de six mille volts
vient de gicler de mon pylône
et nos reins alors se révoltent
d'un coup d'épilepsie synchrone
natale deviner tes pensées
mais toi déjà déjà tu tangues
au flux et reflux des marées
je pense à toi en tant que cible
ma belle enfant écartelée
là j'ai touché le point sensible
attends je vais m'y attarder
Il est temps de passer aux choses
sérieuses ma poupée jolie
tu as envie d'une overdose
de baise voilà je m'introduis
j'aime assez tes miaous miaous
griffes dehors moi dents dedans
ta nuque voir de ton joli cou
comme un rubis perler le sang
plus tu cris plus profond j'irai
dans tes sables émouvants
ou m'enlisant je te dirai
les mots les plus abominables
brûlant sont tous tes orifices
des trois que les dieux t'ont données
je décide dans le moins lisse
d'achever de m'abandonner
une décharge de six mille volts
vient de gicler de mon pylône
et nos reins alors se révoltent
d'un coup d'épilepsie synchrone
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