vendredi 19 juin 2009

Cunnilingus torride de V.I.O.L.A

Très belle évocation du cunni par V.I.O.L.A sur ciao.

Attention cet extrait (le final en crescendo) va vous faire monter au plafond.

Tu caresses ma langue, elle adore ça. Je goûte chaque petit bout de toi, lèvres contre lèvres, langage de soie, langage de moi à toi, langage secret. Doux, si doux, ce voyage, exploration intime, tu es mon océan, et je me baigne en toi, langue, bouche, visage, je suis en toi, je te respire, je t'aspire, le souffle court, tu te soulèves, sur mon menton coule la sève.
Ma langue pénètre, ma langue ose, puis elle revient, petit bouton de rose, tout doucement, l'effleurer, oui, juste l'effleurer, il est fragile, je l'aime, ma bouche le lui dit avec douceur, tendresse et volupté.
Tu frémis, tu trembles, je jouis de ton plaisir. L'excitation est à son comble, le grenier de notre amour, dans ma bouche, mille réserves, l'orgasme guette, je te veux partout. Alors, je cours, ma langue s'affole, au rythme de ton corps, j'accorde mes mouvements, plus rapides, plus violents, je m'enfonce et je lèche à mourir, à pleines dents, je te mords, je te blesse, mais je ne te laisse pas, je reviens encore et encore. Je te pénètre si profondément que tu hurles à la mort, je te pénètre si violemment que tu exiges des baisers-couture, je m'exécute, je t'embrasse en mesure, double-croches, pas de pause, soupir, long soupir, tu jouis, mon sexe, c'est ma langue, mon sexe, ce sont mes doigts, tu es à moi, brûlée au faire-mal, ce faire-mal que je fais si bien.
Lèche mes doigts, goûte-toi, sirop d'amour, fruit de la passion, parfum divin, tu es mon alcool, notre ciel brûle, degrés infinis, ton sexe est ma bulle, mon refuge, mon tout.
Alcoolique de toi, de ta jouissance, je te cunnilingusse, je te lèche, je t'avale, je te mange, je te dévore, je te suce : je t'aime.

Ensemble du forum sur la question

vendredi 12 juin 2009

Langue douce et sucrée

Ma bouche biche s’entrouvre à l’approche de ta bouche fruit
La biche tend le cou, langue douce et sucrée.


Embuée de sa pensée, je laisse mes lèvres s'ouvrir,
Ma langue pointe et le cherche, serpent habile.


Ces 2 distiques vous les retrouvez chez paginocturna (il y a du nue) et hiver 2003 (il y en a aussi) , ils  sont attribuées à une poétesse du 8ème siècle

Hayâm Lamîs Mahjabîn pour laquelle je n'ai trouvé aucune autre source.
Une photo douce et sucrée en illustration malheureusement sans référence d'auteur.
 
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jeudi 11 juin 2009

Le fruit fendu

Un joli texte qui date de décembre 2007. Retrouvez les articles de Philippe Chauveau-Beaubaton publié dans le mague.

Épicuriens du sexe, avez-vous goûté au plaisir de faire une langue de velours sur le beau petit abricot de votre femme.

Arrêtez de ne penser qu’à votre seul plaisir... elle aussi a le droit d’accéder à cette dimension suprême !

Vous appréciez hautement la fellation et adorez que votre compagne vous propose une petite mise en bouche, alors n’oubliez pas de lui rendre son aimable invitation pleine de bonnes intentions. La grande majorité des femmes adore qu’on léchouille, avec raffinement, leur petit fruit caché et délicatement fendu.

Pour pratiquer le cunnilingus, il faut bien sûr être connaisseur et surtout fin gourmet.

Il n’y a pas de préliminaires valables sans cette bien agréable pratique gourmande aux saveurs exotiques.

Dans le cunnilingus, il ne s’agit pas de déposer timidement le bord de vos lèvres sur le sexe de votre petite amie. Il faut vous servir de votre langue et de votre bouche pour stimuler grandes et petite lèvres, le vestibule du vagin et le clitoris de votre partenaire. Les femmes se régalent plus de ce type de caresses que de la pénétration qui n’a rien d’extraordinaire... et certaines d’entre elles jouissent abondamment rien qu’en étant les victimes consentantes de cette bien agréable torture qui n’a rien d’un supplice. Il faut juste que votre langue se fasse aussi douce qu’un petit morceau de satin qui caresserait délicatement la peau d’un fruit gorgé de soleil et prêt à éclater. Laissez votre partenaire vous entraîner dans les coins et les recoins de ses folles envies, elle saura vous guider sur des petits chemins qui n’ont ni queue ni tête, mais qui débouchent sur son plaisir profond et intense... à la frontière de sa douce folie amoureuse.

Ces caresses peuvent inspirer une certaine réticence, c’est la raison pour laquelle une petite toilette intime et préventive est indispensable.

Goûter à cette pratique pleine de douceur et de sensualité, c’est l’adopter assurément !

En amour tout est beau.

Léchez-la, pendant qu’elle vous sucera dans un 69 endiablé, et pénétrez-la délicatement de la première phalange de votre doigt, tout en tapotant avec finesse vers le haut de son vagin... comme pour lui déclencher les ondes du plaisir.

Lorsque cette « gâterie » est bien menée, l’envie de recommencer prendra irrémédiablement possession de vous et vous serez parfaitement insatiables.

On dit que l’appétit vient en mangeant... alors à table et vous m’en direz des nouvelles car ce plat subtil ne fait pas grossir et on peut donc s’en délecter sans modération. Plus l’abeille butine la fleur et plus le miel sera abondant.

Offrez-lui un voyage gratuit et inoubliable vers son Nirvana... et vous pourrez lire, au fond de ses yeux, toute la reconnaissance qu’elle aura pour vous.

Et cette délicieuse accroche
 

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vendredi 5 juin 2009

Un cunnilinctus stupéfiant

Peut-on consommer de la cocaïne à travers des rapports buccaux génitaux. Slate.com s'est penché sur la question. 

Un policier de Manhattan qui a été contrôlé positif à la cocaïne prétend que la drogue est entrée dans son corps parce qu'il a pratiqué un cunnilingus sur sa petite amie, dont il a découvert plus tard qu'elle était une consommatrice régulière. Le New York Daily News a rapporté que, comme l'homme s'était soumis volontairement au test sur un poil de son bras, il n'allait dans tous les cas pas être réadmis dans la police. Est-il vraiment possible d'«ingérer passivement» de la drogue via un cunnilingus ?

La réponse est oui, mais pas assez pour être détecté lors d'un test. Il faudrait ingérer 200 milligrammes de cocaïne dans une période de trois mois précédent le test pour que la drogue puisse être détectée avec certitude dans vos poils. (C'est l'équivalent d'environ deux lignes.) On ne sait pas quelle quantité exacte de cocaïne est présente dans les sécrétions vaginales d'une consommatrice régulière, mais il est probable que cela soit très peu.

En revanche, l'information équivalente pour les hommes est disponible. 

Un rapport de 1996 estime que les utilisateurs chroniques excrètent jusqu'à 0,01 milligrammes de cocaïne par gramme de sperme après la consommation d'une dose particulièrement forte. Etant donné qu'une éjaculation moyenne contient environ deux grammes de sperme, cela prendrait 10 000 rapports sexuels précisément synchronisés sur une période de trois mois pour qu'un non utilisateur risque d'être testé positif. (Selon les registres du tribunal, le policier et sa copine faisaient l'amour «trois ou quatre fois par semaine».) 

L'étude montrait également que «l'absorption de cocaïne par le vagin ou le rectum est généralement efficace,» mais un tel procédé aurait peu de chance de générer des résultats de test positifs (ou l'euphorie) chez les partenaires de consommateurs masculins de cocaïne.

Explication bonus:

Les registres du procès au tribunal de New York indiquent également que le couple «suait souvent» pendant l'acte sexuel. Un contact de peau à peau a-t-il pu causer le résultat positif du test? C'est possible. La cocaïne est secrétée dans la sueur à des niveaux qui peuvent atteindre 100 nanogrammes par millimètre. En théorie, c'est plus qu'assez pour qu'un test sur un poil de bras enduit de sueur se révèle faussement positif. Mais un bon laboratoire aurait effectué une procédure minutieuse de lavage sur le poil qui aurait enlevé toute contamination en surface et supprimé toute trace de cocaïne qui aurait pénétré dans les couches extérieures du poil. Dans les procédures les plus rigoureuses, les niveaux de cocaïne trouvés dans les résidus du lavage sont même soustraits aux niveaux trouvés dans le poil lavé, ce qui réduit encore un peu plus les chances de contamination externe pouvant provoquer un faux résultat.

Article de Nina Shen Rastogi paru sur Slate.com le 9 avril, traduit par Grégoire Fleurot

Nina Shen Rastogi est écrivain et éditeur à Brooklyn, New York.

lundi 1 juin 2009

Sieste

Hum, qui vient me réveiller dans ma sieste ?
Qui écarte mes jambes ?
Qui lèche mes lèvres et mon cul.
Je ne veux pas le savoir. Fermer les yeux, rester encore dans mon rêve qui me mouille l'entre cuisse.
Oui, vient lécher la semence, qui que tu sois.
Sois audacieux et lèche, lèche-moi encore.
Le soleil nous chauffe
Je veux encore de ces siestes de juin.
Je ne veux pas jouir, je veux être léché encore et encore.


Photo : auteur inconnu

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