Dès mon plus jeune âge les filles ont constitué mon environnement
préféré et plus précisèment je désire avant toute chose allez voir sous
leurs jupes.
Adolescent, encore enfant, j'ai conquis une jeune
béké, une héritière de domaine en Guadeloupe. Enfin il faut préciser que
la splendeur des grands possédants n'est souvent qu'un chateau en
haillons.
Je me fis un plaisir de gamahucher cette damoiselle dans
les bosquets de la propriété au son des variétés françaises et
américaines en provenance de la piste de dance. Ces blancs là n'ont-ils
jamais accepté le Funk, la Soul, le Blues enfin toutes ces magnifiques
musiques noires.
Mais la nouvelle s'ébruita, la communauté convoqua la jeune femme qui dû me renier non sans verser de belles larmes.
Je
me lançais immédiatement dans la conquête d'une cousine de plantation,
et dès la semaine suivante elle était vaincue - sans aucune résistance
pour être honnête. Je lui suçais à son tour le fruit défendu et je
m'invitais dans ces après-midi où les filles restent cloitrées dans les
domaines pendant que les garçons vont séduire les métropolitaines de
Gosier et de Saint françois (on se fait aristocratiquement chier mais il
faut savoir donner de son corps).
Transgresser des lois sociales en donnant du plaisir à ces dames n'est-ce pas revenir aux sources du libertinage?
Cerise libertine :Comme un foufou devant la fournaise (Photo Nicocerise)
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