La pluie et la grêle nous fouette le visage mais ne nous pertube pas.
Tout en avançant rapidement vers son appartement nous échangeons de
puissants baisers à pleine bouche, mélangeant nos langues avec fougue.
Ma bouche dans la sienne, je tape son code 1745A et d'un mouvement circulaire nous basculons à l'interieur de l'immeuble.
Trop
impatient pour attendre l'ascenceur nous montons les escaliers 4 à 4.
Elle me caresse le sexe alors que j'essaye maladroitement de faire
pénétrer sa clef dans la serrure.
Nous arrivons enfin sur le lit et je me retiens de déchirer son chemisier comptoir des cotonniers
que je lui retire sans le déboutonner. Elle a elle-même retirée sa
culotte et plaque ma bouche sur son sexe ruisselant. Je lèche
immédiatement cette faille miraculeuse sans me rendre compte que cette
frêle jeune femme arrive dans un mouvement incroyable à faire pivoter
son corps pour se placer sous moi, me dégraffer et faire jaillir mon
sexe qu'elle avale entièrement.
Nos bouches travaillent avec
fougue elle ma bite et moi sa chatte avec la même fureur que l'orage qui
gronde au dehors. Nous jouissons presque simultanément moi dans la
lumière de l'éclair et elle dans le fracas du tonnerre.
Alors que l'immeuble continue à trembler de la colère du ciel, nos deux corps viennent s'abattre sur le lit.
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