Jouir déjà dans l'attente.
Te chercher du regard, te convoiter, finir par te caresser, émue.
Te prendre en mains, être alléchée et impatiente au point d'en avoir l'eau à la bouche, le diable au corps et ne penser qu'à assouvir ce désir de toi.
Oui... te dévorer et me damner.
Te chercher du regard, te convoiter, finir par te caresser, émue.
Te prendre en mains, être alléchée et impatiente au point d'en avoir l'eau à la bouche, le diable au corps et ne penser qu'à assouvir ce désir de toi.
Oui... te dévorer et me damner.
Te voici devant moi, offert, généreux et indécent. À portée de mes sens.
Je ferme les yeux pour mieux te respirer.
Lascif, tu attends que s'attise ma gourmandise, que se déchaînent mes ardeurs. J'aspire à me repaître des soyeuses caresses de l'objet de ma convoitise.
Du plus loin qu'il m'en souvienne, je n'ai été capable de te résister. L'envie de toi me vient dès les premières secondes ou tu te fais jour, tu m'évoques la sensualité et provoques d'inavouables extases.
Une seule pensée m'obsède : me nourrir de tes délices, m'enivrer de tes supplices.
Mes mains fébrilement te touchent, lentement te déshabillent.
L'invitation au voyage.
Je te porte à ma bouche, t'appréhende du bout des lèvres, t'effleure. Puis, te happe, laisse poindre ma langue, l'enroule autour de toi et t'enserre. Elle se love, t'enrobe, te chauffe jusqu'à te faire fondre, je te goûte et m'en délecte à me liquéfier de plaisir. Te ravir au fond de mon palais, te plaquer là et te laisser sourdre lentement dans ma gorge qui, de délice, se serre convulsivement. Je chavire.
Je ne connais de plaisir plus intense que le bonheur de te savourer, que celui de me gargariser de toi.
Tant de frissons dans ce fondant de Toi. Toi que j'ai embrasé si souvent, toi que j'embrase et que je rêve d'embraser encore, juste l'instant d'après.
Vorace et inassouvie.
Je suis affamée.
Je deviens immorale, impudique, obsédée.
Poussée au péché.
Je reste insatiable...
Je ferme les yeux pour mieux te respirer.
Lascif, tu attends que s'attise ma gourmandise, que se déchaînent mes ardeurs. J'aspire à me repaître des soyeuses caresses de l'objet de ma convoitise.
Du plus loin qu'il m'en souvienne, je n'ai été capable de te résister. L'envie de toi me vient dès les premières secondes ou tu te fais jour, tu m'évoques la sensualité et provoques d'inavouables extases.
Une seule pensée m'obsède : me nourrir de tes délices, m'enivrer de tes supplices.
Mes mains fébrilement te touchent, lentement te déshabillent.
L'invitation au voyage.
Je te porte à ma bouche, t'appréhende du bout des lèvres, t'effleure. Puis, te happe, laisse poindre ma langue, l'enroule autour de toi et t'enserre. Elle se love, t'enrobe, te chauffe jusqu'à te faire fondre, je te goûte et m'en délecte à me liquéfier de plaisir. Te ravir au fond de mon palais, te plaquer là et te laisser sourdre lentement dans ma gorge qui, de délice, se serre convulsivement. Je chavire.
Je ne connais de plaisir plus intense que le bonheur de te savourer, que celui de me gargariser de toi.
Tant de frissons dans ce fondant de Toi. Toi que j'ai embrasé si souvent, toi que j'embrase et que je rêve d'embraser encore, juste l'instant d'après.
Vorace et inassouvie.
Je suis affamée.
Je deviens immorale, impudique, obsédée.
Poussée au péché.
Je reste insatiable...
Divins carrés de chocolat noir... Orgiaques, à afficher feu le carré blanc.
Et sur mes doigts... encore des traces d'émois... De Toi.
Ce texte n'est pas de Ceriselibertine il est de Maybe The moon
qui a arrêté d'écrire son blog.Où es-tu ? Publié le 17 décembre 2007.
Alors fellation, Cunnilingus ou gourmandise, je suis sur que vous vous
reconnaitrez.
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