L'analyse d'Ida est intéressante avec un joli sens de la formule. Le postérieur chez Harukawa perd sa charge érotique pour devenir une arme de soumission massive. Je résume elle y parle du coté burlesque et du malaise que génère cette oeuvre.
Encore une fois, je me pose la question de la compréhension d'une oeuvre quand on ne connait pas l'artiste et dans ce cas sans connaitre également la culture de l'artiste. C'est donc pour moi une oeuvre totalement étrangère.
Est-ce
que cette obsession est psychanalytique, plutôt générée par la vie
privé de son auteur ou politique et produite en réaction à un
traumatisme public. Que l'on situe la naissance de l'artiste en 1930 ou
en 1947 peut ne rien changer à l'affaire: on peut voir dans cette oeuvre
une domination de l'homme japonais par le nouvel art de vivre (american
way of life).
Personnellement j'imagine assez bien Eric Zemmour le pourfendeur de la féminisation de homme moderne la tête prise dans le facesitting d'une de ces walkyries.
On
peut y voir une société d'opulence, société de consommation, de
divertissement étouffant les hommes réduits à une dimension productive.
Aux éditions United Dead artists
Gallerie
Et dans un article récent de chpart
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