Je
reprend ici le titre de l'oeuvre du marquis républicain, vers lequel je
me suis tourné après avoir lu le billet sur Hegel et le broute minou d'Evelyne Louvre Blondeau à qui j'ai jamais rendu l'hommage d'un lien vers son blog de référence. Elle ose illustrer Hegel broutant.
Retenons de ce cher Hegel rien de grand ne s'est accompli dans ce monde sans passion. Et L'histoire n'est pas le lieu de la félicité. Les périodes de bonheur y sont ses pages blanches. Est-ce l'inverse pour nos vies ?
Pourquoi en suis-je arrivé à Sade? Comme on passe de la philosophie au boudoir.
Attends,
Eugénie, je vais maintenant t’apprendre une nouvelle manière de plonger
une femme dans la plus extrême volupté, écarte bien tes cuisses…
Dolmancé, vous voyez que de la façon dont je la place son cul vous
reste, gamahuchez-le-lui pendant que son con va l’être par ma langue,
et faisons-la pâmer entre nous, ainsi, trois ou quatre fois de suite,
s’il se peut. Ta motte est charmante, Eugénie,que j’aime à baiser ce
petit poil follet… Ton clitoris, que je vois mieux maintenant, est peu
formé, mais bien sensible… Comme tu frétilles… Laisse-moi t’écarter… Ah !
tu es bien sûrement vierge, dis-moi l’effet que tu vas éprouver dès que
nos langues vont s’introduire, à la fois, dans tes deux ouvertures.
On exécute.
EUGÉNIE : Ah ! ma chère. C’est délicieux, c’est une sensation impossible à peindre ; il me serait bien difficile de dire laquelle de vos deux langues me plonge mieux dans le délire.
On exécute.
EUGÉNIE : Ah ! ma chère. C’est délicieux, c’est une sensation impossible à peindre ; il me serait bien difficile de dire laquelle de vos deux langues me plonge mieux dans le délire.
DOLMANCÉ : Par
l’attitude où je me place, mon vit est très près de vos mains, madame ;
daignez le branler, je vous prie, pendant que je suce ce cul divin.
Enfoncez davantage votre langue, madame, ne vous en tenez pas à lui
sucer le clitoris, faites pénétrer cette langue voluptueuse jusque dans
la matrice, c’est la meilleure façon de hâter l’éjaculation de son
foutre.
EUGÉNIE, se roidissant : Ah ! je n’en peux plus, je me meurs, ne m’abandonnez pas, mes amis, je suis prête à m’évanouir.
Elle décharge au milieu de ses deux instituteurs.
MME DE SAINT-ANGE : Eh bien ! ma mie, comment te trouves-tu du plaisir que nous t’avons donné ?
EUGÉNIE : Je suis morte, je suis brisée…, je suis anéantie…
EUGÉNIE, se roidissant : Ah ! je n’en peux plus, je me meurs, ne m’abandonnez pas, mes amis, je suis prête à m’évanouir.
Elle décharge au milieu de ses deux instituteurs.
MME DE SAINT-ANGE : Eh bien ! ma mie, comment te trouves-tu du plaisir que nous t’avons donné ?
EUGÉNIE : Je suis morte, je suis brisée…, je suis anéantie…
C'est une lecture que l'on doit lire en se caressant. N'est-il pas vrai? De mon coté je ne me censure pas.
Vous pouvez choisir une autre illustration chez le cabinotier
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