Il y a en Caron Geary, tout le plaisir, l'énergie et la créativité que l'on admire dans l’underground anglaise.
Multiple : Geary is mc kinky is Feral is Kinky
Désigné comme première mc caucasienne (sic) elle est aujourd'hui Feral The covert persona, ‘Feral’ encompasses the tribal, the religious and
political, rather than the mythical or surreal, whilst concurrently
denying any immediate recognition based on race, sexuality, class or
gender. (4art)
Elle aime : BACON, GILBERT & GEORGE, JOSEPH WRIGHT OF DERBY, MARLENE DUMAS
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et même un linkedin
Célèbre pour le hit interdit d'antenne Everything Starts With An E
mercredi 20 mai 2015
mardi 19 mai 2015
Léchouille de libé
Les articles sur la fellation sont nombreux. Mais pour parler du cunnilingus, y'a plus grand-monde. Cheek Magazine consacre donc un papier à ce sujet et au tabou qui l'entoure, dans un article repris sur le site des Inrocks.
Autrefois réservée aux maisons closes, la pratique fait aujourd'hui
partie intégrante de la vie sexuelle. Selon une étude de 2006, 85% des
hommes et des femmes l'auraient déjà pratiqué au moins une fois dans
leur vie.
Pour certaines femmes, la pratique du cunnilingus est un critère de choix du partenaire : s'il ne s'y met pas, ciao. A l'inverse, d'autres femmes n'aiment pas ça, au point de stopper net un mec qui voudrait s'y adonner. Pour certains, hommes comme femmes, le cunni n'est pas super compatible avec un coup d'un soir. Quand la fellation tombe davantage sous le sens. On vous raconte pas tout, parce que cet article est fort intéressant et mérite que vous alliez y jeter un œil.
Enfin ça c'est la permanence du traitement journalistique du cunnilingus dans la presse.
Visitez plutôt les pages de ce site.
Ci dessous femme lisant les Cheek Magazine
Pour certaines femmes, la pratique du cunnilingus est un critère de choix du partenaire : s'il ne s'y met pas, ciao. A l'inverse, d'autres femmes n'aiment pas ça, au point de stopper net un mec qui voudrait s'y adonner. Pour certains, hommes comme femmes, le cunni n'est pas super compatible avec un coup d'un soir. Quand la fellation tombe davantage sous le sens. On vous raconte pas tout, parce que cet article est fort intéressant et mérite que vous alliez y jeter un œil.
Enfin ça c'est la permanence du traitement journalistique du cunnilingus dans la presse.
Visitez plutôt les pages de ce site.
Ci dessous femme lisant les Cheek Magazine
samedi 14 mars 2015
vendredi 13 février 2015
Dialogue des lécheuses
Albertine, montrez votre cul à Simone :
« Albertine, montrez votre cul à Simone.
Oh ! Mamzelle Christine ! Mon Dieu ! faut-il s’entendre dire des choses pareilles parce qu’on est en place ! Vrai ! Mamzelle me fait rougir.
N’essayez pas de filer. La porte est fermée à double tour. Vous allez me montrer votre cul, ou je raconte à maman comment vous léchez le mien… Tout de suite ! Albertine ! Voulez-vous montrer votre cul !
Oh ! que Mamzelle est donc contrariante ! Je ne sais pas même s’il faut que je me trousse devant ou derrière.
Penchez-vous sur le lit. Je le ferai pour vous. Tiens, Simone, tu vois : pas de pantalon. Regarde comme elle a de jolies fesses, et des poils tout le long de la raie. À la pension nous n’avions pas une amie aussi poilue que cette fille-là. Vois-tu, quand j’ouvre les fesses ?
Oh ! Mamzelle… Mamzelle…
Creusez les reins ! Allons donc ! mieux que ça ! Tiens, Simone, regarde le con. Est-il beau ! est-il rougi, est-il chevelu ! ce n’est pas pour toi, petite cochonne, c’est à moi, ce con, à ma langue toute seule… Tu en veux ?… Goûtes-y… C’est bon ?… Assez, assez, tu le ferais jouir. Je ne veux pas qu’elle décharge pour toi. »
« Albertine, montrez votre cul à Simone.
Oh ! Mamzelle Christine ! Mon Dieu ! faut-il s’entendre dire des choses pareilles parce qu’on est en place ! Vrai ! Mamzelle me fait rougir.
N’essayez pas de filer. La porte est fermée à double tour. Vous allez me montrer votre cul, ou je raconte à maman comment vous léchez le mien… Tout de suite ! Albertine ! Voulez-vous montrer votre cul !
Oh ! que Mamzelle est donc contrariante ! Je ne sais pas même s’il faut que je me trousse devant ou derrière.
Penchez-vous sur le lit. Je le ferai pour vous. Tiens, Simone, tu vois : pas de pantalon. Regarde comme elle a de jolies fesses, et des poils tout le long de la raie. À la pension nous n’avions pas une amie aussi poilue que cette fille-là. Vois-tu, quand j’ouvre les fesses ?
Oh ! Mamzelle… Mamzelle…
Creusez les reins ! Allons donc ! mieux que ça ! Tiens, Simone, regarde le con. Est-il beau ! est-il rougi, est-il chevelu ! ce n’est pas pour toi, petite cochonne, c’est à moi, ce con, à ma langue toute seule… Tu en veux ?… Goûtes-y… C’est bon ?… Assez, assez, tu le ferais jouir. Je ne veux pas qu’elle décharge pour toi. »
Douze douzains de dialogues
ou petites scènes amoureuses.
mercredi 11 février 2015
Ma splendide fleur sauvage des haies
« Dis-moi les plus petites choses sur toi, pour autant qu’elles sont
obscènes et secrètes et dégoûtantes. N’écris rien d’autre. Que chaque
phrase soit pleine de sons et de mots sales. Ils sont tous également
charmants à entendre et à voir sur le papier, mais les plus sales sont
les plus beaux. »
Tell me the smallest things about youfself so long they are obscene and secret and filthy. Write nothing else. Let every sentence be full of dirty immodest words and sounds. They are alliovely to hear and to see on paper even but the dirtiest are the most beautiful.
Ainsi sera la correspondance de Nora Barnacle avec James Joyce.
Vu par Philippe Sollers
Moi aussi une fois je te surprendrai endormie, je te remonterai les jupes et j’ouvrirai doucement ta culotte brûlante, puis je m’étendrai doucement à côté de toi et je commencerai à lécher paresseusement tout autour de ta fourrure. Tu commenceras à te remuer et à t’agiter alors je lécherai les lèvres du con de ma chérie. Tu commenceras à gémir et grogner et soupirer et péter de joie dans ton sommeil. Alors je lécherai plus vite et plus vite comme un chien vorace jusqu’à ce que ton con soit une masse de bave et que ton corps se torde sauvagement.
Bonne nuit, ma petite Nora péteuse, mon dégoûtant petit oiseau fouteur. Il y a un mot charmant , chérie, que tu as souligné pour que je me branle mieux. Ecris-moi plus sur ça et toi, avec douceur, plus sale , PLUS SALE.
Jim
Interprété Par Arthur H et Nicolas Repac
C’est une vraie lettre à sa femme. Et c’est un des textes que je trouve le plus émouvant parce que déjà ce n’est pas un texte littéraire, c’est une lettre, pas un poème ou une œuvre. Ce qui est très touchant, c’est qu’il est très sentimental, très spirituel, très poétique et tout d’un coup sans transition, il passe à quelque chose de très cru, très sexuel. Et du coup, il y a une vraie émotion dans le sexe. Je trouve la liberté qu’il se donne très moderne, mais surtout je trouve cela très honnête dans l’approche. Il n’a aucune autocensure, il dit toujours ce qu’il ressent. S’il ressent un élan poétique pour sa femme il le dit, et puis si ça l’excite et qu’il a envie de dire quelque chose d’obscène, il le dit aussi. Et il passe de l’un à l’autre de manière fantastique. (Arthur H)
Tell me the smallest things about youfself so long they are obscene and secret and filthy. Write nothing else. Let every sentence be full of dirty immodest words and sounds. They are alliovely to hear and to see on paper even but the dirtiest are the most beautiful.
Ainsi sera la correspondance de Nora Barnacle avec James Joyce.
Vu par Philippe Sollers
Moi aussi une fois je te surprendrai endormie, je te remonterai les jupes et j’ouvrirai doucement ta culotte brûlante, puis je m’étendrai doucement à côté de toi et je commencerai à lécher paresseusement tout autour de ta fourrure. Tu commenceras à te remuer et à t’agiter alors je lécherai les lèvres du con de ma chérie. Tu commenceras à gémir et grogner et soupirer et péter de joie dans ton sommeil. Alors je lécherai plus vite et plus vite comme un chien vorace jusqu’à ce que ton con soit une masse de bave et que ton corps se torde sauvagement.
Bonne nuit, ma petite Nora péteuse, mon dégoûtant petit oiseau fouteur. Il y a un mot charmant , chérie, que tu as souligné pour que je me branle mieux. Ecris-moi plus sur ça et toi, avec douceur, plus sale , PLUS SALE.
Jim
Interprété Par Arthur H et Nicolas Repac
C’est une vraie lettre à sa femme. Et c’est un des textes que je trouve le plus émouvant parce que déjà ce n’est pas un texte littéraire, c’est une lettre, pas un poème ou une œuvre. Ce qui est très touchant, c’est qu’il est très sentimental, très spirituel, très poétique et tout d’un coup sans transition, il passe à quelque chose de très cru, très sexuel. Et du coup, il y a une vraie émotion dans le sexe. Je trouve la liberté qu’il se donne très moderne, mais surtout je trouve cela très honnête dans l’approche. Il n’a aucune autocensure, il dit toujours ce qu’il ressent. S’il ressent un élan poétique pour sa femme il le dit, et puis si ça l’excite et qu’il a envie de dire quelque chose d’obscène, il le dit aussi. Et il passe de l’un à l’autre de manière fantastique. (Arthur H)
samedi 13 décembre 2014
Junta tu roja boca con la mía
Píntame con tu boca ensangrentada
un cielo del amor,
en un fondo de carne la morada
estrella de dolor.
Junta tu roja boca con la mía,
¡oh Estrella la gitana!
Déjame bajo el claro mediodía
consumir la manzana.
Federico Garcia Lorca , Véga de Zujaira, Aout 1920
Rougis pour moi de ta bouche sanglante
Tout un ciel d’amour
Où sur un fond de chair luit la violette
Etoile des douleurs.
Presse ta bouche pourpre sur la mienne,
Etoile, la gitane !
Et sous l'or solaire du grand midi
Je mordrai à la pomme.
Extrait de Madrigal d'été - Madrigal de verano
un cielo del amor,
en un fondo de carne la morada
estrella de dolor.
Junta tu roja boca con la mía,
¡oh Estrella la gitana!
Déjame bajo el claro mediodía
consumir la manzana.
Federico Garcia Lorca , Véga de Zujaira, Aout 1920
Rougis pour moi de ta bouche sanglante
Tout un ciel d’amour
Où sur un fond de chair luit la violette
Etoile des douleurs.
Presse ta bouche pourpre sur la mienne,
Etoile, la gitane !
Et sous l'or solaire du grand midi
Je mordrai à la pomme.
Extrait de Madrigal d'été - Madrigal de verano
mardi 11 novembre 2014
Spumifères cunnilinguistes
Spumifères. Terme qui signifie porteurs d’écume. 40 créatures imaginées par Georges Hugnet entre 1948 et 1950. Il ajouta les textes en 1960.
Ils sont tous dans La vie amoureuse des Spumifères éditée par Biro (Adam Biro) & Cohen. Ouvrage unanimement salué.
Le Matricol odorant
est noble de proportions et d'allure. [...] Dans cette ambiance d'amour, il dégage une subtile et suave odeur que répandent ses tantumergots, nombreuses et belles griffes frissonnant dans les touffes de fourrure de ses membres inférieurs, d'où le qualificatif qui suit son nom. L'acte d'amour revêt à ses yeux le caractère d'un véritable office dont il est le prêtre et l'ordonnateur. Dans le silence, il grabilotte plus qu'il ne chante, il ronronne son hymne d'amour profane et agite en l'air ses tantumergots comme des encensoirs. Puis il s'agenouille et balance la tête, lentement, à droite et à gauche, plusieurs fois, au-dessus du réceptacle de sa volupté. Quand se dessinent les premiers frissons, il écartèle son éprouvelotte, poche qui pend à son nombril, y plonge ses tantumergots et lance sur le corps adoré d'énormes poignées de confetti aux couleurs des plus délicates dont chacun porte le nom de son idole, jusqu'à ce qu'elle meure étouffée.[...] après un certain laps de temps, les confetti remuent, bouillonnent et libèrent un second Matricol, fils du premier, sitôt conçu sitôt né et sitôt né sitôt adulte, qui, à son tour, s'éloigne en grabilottant. (Lunettes rouges)
La Roscote Givrée
Ubu Gallery
Sus au vieux monde
Shige
Petite mélancolie
Ils sont tous dans La vie amoureuse des Spumifères éditée par Biro (Adam Biro) & Cohen. Ouvrage unanimement salué.
Le Matricol odorant
est noble de proportions et d'allure. [...] Dans cette ambiance d'amour, il dégage une subtile et suave odeur que répandent ses tantumergots, nombreuses et belles griffes frissonnant dans les touffes de fourrure de ses membres inférieurs, d'où le qualificatif qui suit son nom. L'acte d'amour revêt à ses yeux le caractère d'un véritable office dont il est le prêtre et l'ordonnateur. Dans le silence, il grabilotte plus qu'il ne chante, il ronronne son hymne d'amour profane et agite en l'air ses tantumergots comme des encensoirs. Puis il s'agenouille et balance la tête, lentement, à droite et à gauche, plusieurs fois, au-dessus du réceptacle de sa volupté. Quand se dessinent les premiers frissons, il écartèle son éprouvelotte, poche qui pend à son nombril, y plonge ses tantumergots et lance sur le corps adoré d'énormes poignées de confetti aux couleurs des plus délicates dont chacun porte le nom de son idole, jusqu'à ce qu'elle meure étouffée.[...] après un certain laps de temps, les confetti remuent, bouillonnent et libèrent un second Matricol, fils du premier, sitôt conçu sitôt né et sitôt né sitôt adulte, qui, à son tour, s'éloigne en grabilottant. (Lunettes rouges)
La Roscote Givrée
Le Minoseur Hésitant
Ubu Gallery
Sus au vieux monde
Shige
Petite mélancolie
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