jeudi 30 mai 2013
vendredi 24 mai 2013
Don't ask Don't tell
James Bond: [Whilst being in bed with his Scandinavian language tutor] I always enjoyed learning a new tongue.
Moneypenny: You always were a cunning linguist, James.
Moneypenny: [M walks up from behind Moneypenny] Don't ask.
M: Don't tell.
* Policy Don't ask don't tell
Moneypenny: You always were a cunning linguist, James.
Moneypenny: [M walks up from behind Moneypenny] Don't ask.
M: Don't tell.
* Policy Don't ask don't tell
samedi 18 mai 2013
Ma langue éprise d'aventure cunnilingus d'un vagabond
Albert Glatigny a écrit l'invitation à la minette que je vous propose ci dessous. L'invitation à la minette fait partie du recueil Joyeusetés galantes et autres du vidame Bonaventure de la Braguette. Sa vie est bouleversante. Cette invitation à la minette comme une autre invitation au voyage Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Albert Glatigny (ou Glatiny que l'on trouve aussi sur le net) doit être célébré comme il se doit des siècles après sa mort. Lui qui a vécu sans faire de mal à personne.
Et j'accompagne ce poème des oeuvres d'Egon Schiele dont l'oeuvre est également une invitation à la minette.
Ton con suave, ton con rose,
Sous une forêt de poils blonds,
Doux, frisés, parfumés et long,
A l'air d'une lèvre mi-close,

Lèvre excitant les appétits
De ma lèvre très curieuse,
D'où tant de baisers sont partis ...
Car ma chère, les imbéciles

Auront beau dire ; quand on a,
Sur la fille qu'on enconna,
Fait sonner ses couilles dociles,
A moins d'être bourgeois épais

Dont la nuque indécente arbore
Un de ces fameux toupets
Aux crins roses comme l'Aurore
Il faut quand le champ se va clore,
Déposer le baiser de la paix.
Albert Glatigny (ou Glatiny que l'on trouve aussi sur le net) doit être célébré comme il se doit des siècles après sa mort. Lui qui a vécu sans faire de mal à personne.
Et j'accompagne ce poème des oeuvres d'Egon Schiele dont l'oeuvre est également une invitation à la minette.
Ton con suave, ton con rose,
Sous une forêt de poils blonds,
Doux, frisés, parfumés et long,
A l'air d'une lèvre mi-close,
Lèvre excitant les appétits
De ma lèvre très curieuse,
D'où tant de baisers sont partis ...
Car ma chère, les imbéciles
Auront beau dire ; quand on a,
Sur la fille qu'on enconna,
Fait sonner ses couilles dociles,
A moins d'être bourgeois épais
Dont la nuque indécente arbore
Un de ces fameux toupets
Aux crins roses comme l'Aurore
Il faut quand le champ se va clore,
Déposer le baiser de la paix.
mardi 14 mai 2013
Glottisme enragé d'un jeune puceau
Je soulevai sa chemise et regardai avec étonnement l’énormité de son ventre, où le nombril était en relief au lieu d’être en creux comme chez ma sœur.
Je léchai ce nombril. Elle était immobile, ses seins pendaient sur les côtés. Je soulevai un de ses pieds et le portai sur le lit. Son con m’apparut. Je m’effrayai d’abord en voyant les deux grandes lèvres, épaisses et enflées, dont la couleur rouge tournait au brun.
Sa grossesse me laissait jouir de cette vue d’une façon très complète. Ses lèvres étaient ouvertes, et à l’intérieur, où je jetai un coup d’œil, j’aperçus tout un étal de boucherie où la viande était d’un beau rouge humide.
En haut des grandes lèvres le trou à pipi se montrait surmonté d’un petit grain de viande. C’était le clitoris, comme je m’en rendis compte par ce que j’avais appris dans l’atlas anatomique.
La partie supérieure de la fente se perdait dans les poils qui couvraient un mont de Vénus d’un embonpoint démesuré. Les lèvres étaient presque dépourvues de poils et la peau, entre les cuisses, était humide et rougie par la sueur.
En vérité, le spectacle n’était pas admirable, mais il me plut d’autant plus que cette femme était assez propre. Je ne pus m’empêcher de placer ma langue dans sa fente et rapidement je léchai et pourléchai le clitoris qui durcissait sous mon glottisme enragé.
Ce léchage me fatigua bientôt, je remplaçai ma langue par un doigt, la fente était très humide. Alors je m’emparai des tétons dont je pris les pointes en bouche en les suçant tour à tour. Mon index ne quittait pas le clitoris qui durcissait et grandissait. Il eut bientôt la taille de mon petit doigt et la grosseur d’un crayon.
Apollinaire Les exploits d'un jeune Don Juan
Et ci dessous une scène du film de Gianfranco Mingozzi, scénariste Jean-Paul Carrière, avec Marion Peterson (Kate- de la scène ci dessous), Marina Vlady (Mme Muller-de la scène ci dessus), Claudine Auger (la mère), Bérangère Bonvoisin (Tante Marguerite) et bien sur Serena Grandi (Ursule)
Marion Peterson-Journal d'un jeune Don Juan par francomac
Je léchai ce nombril. Elle était immobile, ses seins pendaient sur les côtés. Je soulevai un de ses pieds et le portai sur le lit. Son con m’apparut. Je m’effrayai d’abord en voyant les deux grandes lèvres, épaisses et enflées, dont la couleur rouge tournait au brun.
Sa grossesse me laissait jouir de cette vue d’une façon très complète. Ses lèvres étaient ouvertes, et à l’intérieur, où je jetai un coup d’œil, j’aperçus tout un étal de boucherie où la viande était d’un beau rouge humide.
En haut des grandes lèvres le trou à pipi se montrait surmonté d’un petit grain de viande. C’était le clitoris, comme je m’en rendis compte par ce que j’avais appris dans l’atlas anatomique.
La partie supérieure de la fente se perdait dans les poils qui couvraient un mont de Vénus d’un embonpoint démesuré. Les lèvres étaient presque dépourvues de poils et la peau, entre les cuisses, était humide et rougie par la sueur.
En vérité, le spectacle n’était pas admirable, mais il me plut d’autant plus que cette femme était assez propre. Je ne pus m’empêcher de placer ma langue dans sa fente et rapidement je léchai et pourléchai le clitoris qui durcissait sous mon glottisme enragé.
Ce léchage me fatigua bientôt, je remplaçai ma langue par un doigt, la fente était très humide. Alors je m’emparai des tétons dont je pris les pointes en bouche en les suçant tour à tour. Mon index ne quittait pas le clitoris qui durcissait et grandissait. Il eut bientôt la taille de mon petit doigt et la grosseur d’un crayon.
Apollinaire Les exploits d'un jeune Don Juan
Et ci dessous une scène du film de Gianfranco Mingozzi, scénariste Jean-Paul Carrière, avec Marion Peterson (Kate- de la scène ci dessous), Marina Vlady (Mme Muller-de la scène ci dessus), Claudine Auger (la mère), Bérangère Bonvoisin (Tante Marguerite) et bien sur Serena Grandi (Ursule)
Marion Peterson-Journal d'un jeune Don Juan par francomac
lundi 13 mai 2013
Voyeuses for now
Dasha Shishskin n'a pas de bio sur le net et n'a pas de pages en français, née en 1977, Moscow-born, New York-based painter and printmaker.
Titles (of my work) are like a cherry on a cake. Il y a notamment celui ci : Butter is the Passport to Pleasure mais également Enthusiasm is a Fever of Reason.
L'univers de Dasha Shinskin est sombre et glacial dans son contenu (corps mutilés, amputés, ... mais sans que personne ne le remarque dismembered torsos, severed breasts and phalluses abound, though the horrors are apparently routine for the inhabitants pour Elli Bronson dans un article intitulé Putting the gore into phantasmagoria) et coloré dans sa réalisation : a world of sinuous lines, kaleidoscopic colors, and psychedelic imagery (bunt)
Interview chez Blouin
I make drawings and not paintings. I am still attached to line and eloquent silhouettes that line creates, leaving paint and colors to be fillers and not definers.
I like being a voyeur for now.
Nabuchodonosor II
a envoyé Holopherne châtier les peuples qui ont refusé de le soutenir
dans la guerre qu'il a menée contre le roi perse, lors du siège de
Béthulie, Judith va séduire le général, l'enivrer et le décapiter. Cette
histoire est racontée dans Le livre de Judith livre deutérocanonique de la Bible. Cette scène a inspirée presque tous les peintres dont Artemisia Gentileschi bien sur.
A coté de Dasha shishskin je vous propose Ghada Amer avec également un univers de lignes au crayon et son attrait pour divers supports dont la broderie. Née en 1963 au Caire elle vit à New York également.
Ghada Amer coud sur des toiles des images provenant de magazines pornographiques, son procédé implique un changement visuel, ce qui semble être une masse de lignes abstraites avec des bouts de fils qui dépassent, dévoile peu à peu des personnages érotiques, affiché dans un motif répétitif.
Titles (of my work) are like a cherry on a cake. Il y a notamment celui ci : Butter is the Passport to Pleasure mais également Enthusiasm is a Fever of Reason.
L'univers de Dasha Shinskin est sombre et glacial dans son contenu (corps mutilés, amputés, ... mais sans que personne ne le remarque dismembered torsos, severed breasts and phalluses abound, though the horrors are apparently routine for the inhabitants pour Elli Bronson dans un article intitulé Putting the gore into phantasmagoria) et coloré dans sa réalisation : a world of sinuous lines, kaleidoscopic colors, and psychedelic imagery (bunt)
Interview chez Blouin
I make drawings and not paintings. I am still attached to line and eloquent silhouettes that line creates, leaving paint and colors to be fillers and not definers.
I like being a voyeur for now.
Geppetto makes another
A coté de Dasha shishskin je vous propose Ghada Amer avec également un univers de lignes au crayon et son attrait pour divers supports dont la broderie. Née en 1963 au Caire elle vit à New York également.
Ghada Amer coud sur des toiles des images provenant de magazines pornographiques, son procédé implique un changement visuel, ce qui semble être une masse de lignes abstraites avec des bouts de fils qui dépassent, dévoile peu à peu des personnages érotiques, affiché dans un motif répétitif.
And the beast
Trini
Who killed "les demoiselles d'Avignon"
Romantique en public ...
Francesco Hayez est pour le public un peintre italien romantique du XIXème siècle
Mais il existe Franscisco Hayez privato : 19 planches sur papier très fins où sont représentées les jeux d'amour du peintre romantique avec Carolina Zucchi.

Les deux amants, nus ou à moitié nus se laissent aller entre les murs du studio du peintre à des jeux érotiques sans préjugés. Carolina Zucchi, surnommée la Fornarina (la fornarina était la maitresse de Raphael mais il est possible que Carolina est aussi ce surnom) était fille du comptable Zucchi,qui acceuillait dans sa maison des artistes tels que Donizetti et Bellini.



Voir également Venise libertinage
Les deux amants, nus ou à moitié nus se laissent aller entre les murs du studio du peintre à des jeux érotiques sans préjugés. Carolina Zucchi, surnommée la Fornarina (la fornarina était la maitresse de Raphael mais il est possible que Carolina est aussi ce surnom) était fille du comptable Zucchi,qui acceuillait dans sa maison des artistes tels que Donizetti et Bellini.
Voir également Venise libertinage
Lipsucker blues
Cocksucker Blues de Robert Frank (le blues du suceur de queue) a été interdit de diffusion et certaines scènes dont la scène de l’avion en deviennent légendaire. Avec internet le film est maintenant visible et la scène de l'avion perd de sa légende.
Le film retrace la tournée des Stones aux states de 1972. Le groupe a loué un Boeing-737 pour les ramener chaque soir après le concert à un lieu fixe. Quatre sièges affaire pour le groupe, Ronnie et Keith, un rideau, Mick et Charlie, un rideau, sièges 1ère classe les accompagnateurs (Darryl Jones et Lisa FIsher, Bernard Fowler, Chuck Leavell) et bien sûr les administrateurs et logisticiens du groupe, sièges ordinaires pour les autres.
Cette fois-ci, on a embarqué une fille, et on la renverra par vol retour le lendemain. C'est l'occasion d'une mise en scène d'un sacrifice vaudou. La fille est déshabillée de force, mise nue et par un mouvement d'épaulé jeté porté à la bouche de son boureau. Le tout sur fond de tambourins et de maracas. Simulacre de sacrifice. La scène ne fait pas rire même les protagonistes s'en fiche. Wyman et Watts n'y participent pas et le rire de Jagger est bien forcé. La scène n'est pas drôle, bas niveau de bizutage de soirée alcoolisée d'étudiants boutonneux.
(la scène en réalité ne s'est pas passée ainsi allons au delà du montage : il y a plusieurs filles. L'une ne veut pas se laisser déshabiller et se débat mais ce n'est pas elle que son boureau porte à la bouche mais une autre que l'on a vu bien allumé et consentante à se laisser mettre nu. On la retrouve après, nue seule titubant de drogue ou d'alcool dans les travées de l'avion)
C'était aussi ça l'épopée du rock, libération sexuelle? et mise à scène. Si typiquement seventies.
Le film retrace la tournée des Stones aux states de 1972. Le groupe a loué un Boeing-737 pour les ramener chaque soir après le concert à un lieu fixe. Quatre sièges affaire pour le groupe, Ronnie et Keith, un rideau, Mick et Charlie, un rideau, sièges 1ère classe les accompagnateurs (Darryl Jones et Lisa FIsher, Bernard Fowler, Chuck Leavell) et bien sûr les administrateurs et logisticiens du groupe, sièges ordinaires pour les autres.
Cette fois-ci, on a embarqué une fille, et on la renverra par vol retour le lendemain. C'est l'occasion d'une mise en scène d'un sacrifice vaudou. La fille est déshabillée de force, mise nue et par un mouvement d'épaulé jeté porté à la bouche de son boureau. Le tout sur fond de tambourins et de maracas. Simulacre de sacrifice. La scène ne fait pas rire même les protagonistes s'en fiche. Wyman et Watts n'y participent pas et le rire de Jagger est bien forcé. La scène n'est pas drôle, bas niveau de bizutage de soirée alcoolisée d'étudiants boutonneux.
(la scène en réalité ne s'est pas passée ainsi allons au delà du montage : il y a plusieurs filles. L'une ne veut pas se laisser déshabiller et se débat mais ce n'est pas elle que son boureau porte à la bouche mais une autre que l'on a vu bien allumé et consentante à se laisser mettre nu. On la retrouve après, nue seule titubant de drogue ou d'alcool dans les travées de l'avion)
C'était aussi ça l'épopée du rock, libération sexuelle? et mise à scène. Si typiquement seventies.
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