mercredi 30 juin 2010

Baise des petits culs et boit dans un grand verre

Heureux celui qui loin des soucis de la terre
Baise des petits culs et boit dans un grand verre
Remplis l'un, vide l'autre et passe avec gaité
Du cul de la bouteille au cul de la Beauté.


Ces vers seraient de Ronsard. L'épicurisme français serait donc le vin et le cul. Que faudrait-il de plus pour être heureux. Les enfants vous répondront certaines femmes.


Mais les hommes continuent de chanter le con et la bouteille


Dieu créa pour notre bonheur
Le sexe et le jus de la treille
Aussi je viens en son honneur
Chanter le con et la bouteille
Chanter le con et la bouteille (X 4)

Ami, plus l’on boit plus l’on fout
Un buveur décharge à merveille
Aussi le vin pour te dire tout
C’est du foutre mis en bouteille
C’est du foutre mis en bouteille (X 4)

REFRAIN
Grand Dieu nous t’en supplions
Fais-nous croire à tes merveilles
Toujours trouver l’fond du con
Jamais …. le fond d’la bouteille

Dieu créa pour notre bonheur
Le sexe et le jus de la treille
Aussi je viens en son honneur
Chanter le con et la bouteille.
Chanter le con et la bouteille (X 4)

REFRAIN (bis)

dimanche 27 juin 2010

Un rêve de cunnilingus

Elle dort encore, alors que je vous conte cette histoire qui vient de se dérouler il y a dix minutes à peine.

Je sors la tête de la piscine et me retrouve nez à nez avec les jambes de Valérie qui s'est assoupie après le déjeuner et le petit bain qui a suivi. Je dis assoupie mais elle a l'air de dormir profondément.
Je lui dépose un doux baiser sur les cuisses et elles s'ouvrent dans l'instant faisant glisser le paréo qui laisse apparaitre son sexe offert.
Il ne m'en faut pas plus pour prendre cela comme une invitation. Je lui lèche délicatement la merveilleuse fente à coup de langue lubrique. Son corps se laisse aller dans de légers mouvements du bassin et ici et là de petits jappements. Un mouvement plus long me signale un effet orgasmique. La belle a le sexe inondé.
Je retourne devant mon écran sans laisser de traces de mon forfait. Croira-t-elle à son réveil qu'elle a rêvé?
Peut-être un jour découvrira-t-elle ce blog et elle connaitra la source des rêves.

Mademoiselle rêve.

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mardi 22 juin 2010

Footons, Footons

15 millions de Français devant le football, devant un triste France Mexique. Pouquoi tant de téléspectateurs devant un aussi médiocre divertissement. Je décide de faire une petite promenade et je découvre cette scène d'un but grand ouvert et d'un attaquant qui ne laisse pas passer sa chance.

Foutons, Foutons me dis-je, ne vivons pas notre plaisir par procuration.

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dimanche 20 juin 2010

La grande excitation

Alterner succions du clitoris, coups de langue, pincements, titillements, afin de varier les plaisirs. On peut lécher, sucer, mordiller, jouer avec les parties externes et internes du vagin.
(...)
Écartez bien ses cuisses et léchez tous ses trésors, ne laissez pas un centimètre inexploré ; embrassez et léchez son périnée ; écartez ses lèvres et faites danser votre lubrique langue de bas en haut ; faites des mouvements circulaires autour du clitoris... écartez encore plus ses lèvres et pénétrez-la avec votre langue ; goûtez-la ; dites-lui comme vous régalez ; ouvrez ses cuisses ; basculez son bassin ; relevez ses jambes, mangez-la...

Ce sont les bons conseils d'Erik Rémès pour faire gonfler le clitoris, car comme il le rappelle le clitoris se gonfle lorsqu'il est excité et cette transformation est un grand moment de bonheur. Je découvre cet auteur et son histoire me donne envie d'en savoir plus.

Et pour illustrer ce texte de belles photos du plaisir féminin.

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dimanche 13 juin 2010

Le porté léché

Dans cette vidéo intitulée délicatement Creampie ou "tarte à la crème" vous pourrez apprécier un porté-léché (03:27) effectué par un mâle latin des plus costaux mais bien attentionné vis à vis de sa partenaire. Celles qui reprochaient au baiser-français trop de cunnilingus lesbiens, seront gâtées par cette vidéo.

samedi 12 juin 2010

Le petit chat

Faut-il revenir à la poésie pour savoir comment le lapin est devenu un petit chat ?

Oui car chers lecteurs et très chères lectriceLe connil ou connin, conin, cunin est l'ancien nom du lapin qui servait aussi à désigner le sexe de la femme (jusqu'au 17e siècle) et on retrouve cette racine dans Cunnilingus. Vous pouvez réviser en revenant à l'origine du mot. Mais lisez plutôt la suite vous aurez tout le temps de vous cultiver plus tard. Et laissez moi des mots excitants dans les commentaires.

RAFFINEMENT

Quand ils eurent goûté les suprêmes ivresses,
Ils cachèrent leurs corps, meurtris par les caresses,
Sous les draps qui fleuraient la lavande et la peau,
et, les yeux fermés, les bras formant étau,
Leurs êtres lentement, sous l'ardeur des étreintes,
Sentirent se rallumer les voluptés éteintes.
" - Recommençons", dit-il: et, le sourire aux dents,
La femme murmura tout bas des mots ardents.
Puis, doux comme un soupir, de sa bouchette rose
S'exhalèrent ces mots: "Non ! cherchons autre chose."
Et, comme lui, naïf, la regardait, béat...
"- Tu ne devines pas ?... Donne ta langue au chat."

Anonyme vers 1900 sur le forum Francophonia
 
Et la deuxième qui ne donne pas la langue au chat mais qui lui donne le doigt et cruelle pratique qui consiste à faire pleurer LE PETIT CHAT

Enfin dans ta chambre chérie
Ayant pénétré malgré toi,
Ta gentille ménagerie
Hier a paru devant moi.
Ton musée, aimable Rosine,
Sans doute n'est pas sans éclat ;
Mais le plus joli, ma cousine,
C'est, à coup sûr, ton petit chat.

Tu te plains de ce que naguère
Négligeant tes jeunes appas,
Avant mon dépat pour la guerre,
De toi je ne m'occupais pas.
Sur le minet d'une voisine,
Si j'ai commis doux attentat,
C'est qu'en ce temps-là, ma cousine,
Tu n'avais pas de petit chat.

Pour nous charmer à l'improviste,
En vain tu cachais ces trésors.
Moi, curieux naturaliste,
Pour les voir j'ai doublé d'efforts.
Mais voir est trop peu, j'imagine,
Voir n'amène aucun résultat :
Ah ! permets-moi, chère cousine,
De caresser ton petit chat.

Tu souffres que sur sa parure
Je promène un doigt empressé,
Mais tu veux que de sa fourrure
Le duvet ne soit pas froissé.
Vas, ne crains rien pour son hermine,
Mon doigt est fort, mais délicat,
Vois, il fait faire, ma cousine,
Le gros dos à ton petit chat.

Toujours désireux de te plaire,
Ah ! sans lui vouloir aucun mal,
Que j'aimerais à satisfaire,
Ce petit gourmand d'animal.
Si d'un coup de griffe assassine
Je n'avais peur qu'il me payât.
Sois franche et bonne, ma cousine,
Dis-moi, mord-il ton petit chat ?

Dès qu'entre ses lèvres de rose
Minet sent mon doigt friponner,
Vois le petit gueux comme il ose
Le serrer et l'emprisonner.
Je veux de son ardeur mutine
Punir le petit scélérat,
Dis-moi, sans peine, ma cousine,
Fait-on pleurer ton petit chat ?

Quelle délicatesse extrème !
A peine si je l'ai foulé,
Et pour deux coups, fort légers même,
Déjà ses larmes ont coulé.
Mais pour cela, chère Rosine,
Ne vas pas me faire sabbat,
Car tu jouissais, ma cousine,
Lorsque pleurait ton petit chat.

Paul Emile DEBRAUX
Le petit chat

jeudi 10 juin 2010

Autolingus

Pour faire plaisir à Gicerilla, je lui dédie ce nouveau néologisme. Un peu redondant car par définition un néologisme est nécessairement nouveau. Mais l'accunilingus est un ancien néologisme. Je tourne en rond et bientôt je pourrais pratiquer une auto fellation.

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Il y a une autre variante de l'autolingus que vous pouvez pratiquer dans une Peugeot si elle n'est pas décapotable.